Selon une étude de l’Institut national d’études démographiques (Ined), les Françaises et les Français souhaitent avoir moins d’enfants. L’enquête Erfi (Étude des relations familiales et intergénérationnelles) révèle une baisse du nombre moyen d’enfants désirés, passant de 2,39 en 2005 à 1,76 en 2023.
Baisse du nombre d’enfants désirés
Cette diminution est particulièrement marquée chez les femmes de moins de 40 ans. Le nombre idéal d’enfants envisagé diminue plus rapidement que le nombre d’enfants réellement mis au monde. Cette tendance s’inscrit dans un contexte de baisse du taux de fécondité en France, passé de 2 enfants par femme en 2014 à 1,62 en 2023.
Contexte de baisse de la natalité
Le nombre de naissances a chuté de plus de 20% depuis 2010. L’étude indique que cette baisse ne résulte pas uniquement d’un report des naissances, mais d’une modification profonde des projets parentaux. Plusieurs facteurs expliquent ce phénomène : l’instabilité économique, la précarité de l’emploi, les difficultés de concilier vie professionnelle et vie familiale, ainsi que les inquiétudes liées au changement climatique.
Facteurs influençant les choix parentaux
L’étude met en lumière l’impact de l’environnement socio-économique et des préoccupations écologiques sur les décisions des Françaises et des Français en matière de parentalité. Avoir des enfants n’est plus perçu comme une évidence par une part croissante de la population. Malgré cette baisse, le taux de fécondité français reste parmi les plus élevés d’Europe, mais demeure inférieur au seuil de renouvellement des générations (2,07 enfants par femme).
Une baisse de natalité est toujours synonyme d’une société pervertie. Qu’Allah nous en préserve !!!
cette baisse est du à l’homosexualité de la société francaise