Cette deuxième édition sera une confirmation de notoriété pour ces jeunes femmes et hommes sénégalais entrepreneurs qui ont décidé de venir en aide à leurs compatriotes de la diaspora coupés de certaines informations clés pour un retour d’investissements au pays.
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Ces jeunes entrepreneurs comptent ainsi offrir aux Sénégalais de l’extérieur l’opportunité de comprendre les caractéristiques essentielles d’un investissement dans l’immobilier au Sénégal mais aussi les avantages de pouvoir accéder aux fonds et crédits dédiés à la communauté sénégalaise de la diaspora. De quoi garantir un retour au pays pour ceux qui le souhaitent et qui ne maîtrisent pas tout à fait la trajectoire.
« L’innovation de taille, au delà de l’exposition et de la vente, c’est de permettre aux Sénégalais de la diaspora d’avoir accès aux informations de crédit, de Fonds , sur un investissement de retour au pays », a renchéri la Directrice générale de So’ma Consulting.
Quant à l’appui des structures étatiques pour la réussite totale de cet évènement qui vend la destination du Sénégal à l’extérieur, les organisateurs restent optimistes.
« Des projets de ce genre doivent être accompagnés par des structures étatiques quoi que nous en avons fait la demande. Nous sommes en pourparlers avec certains et nous attendons leur aval pour pouvoir avancer. C’est un projet que devraient souscrire des agences de l’Etat. Nous avons l’ANAT (Agence Nationale pour l’Aménagement du Territoire) qui a des programmes qui permettent à la diaspora de venir retrouver les ressources naturelles non exploitées dans différents domaines à l’instar de l’élevage et autres.
« Nous espérons l’implication des ministères de tutelles tels que le ministère du Commerce, le ministère de la femme et celui de la Jeunesse. Car, ce sont des jeunes très ambitieux qui ont la volonté d’apporter le développement économiques dans ce pays et qui sont souvent laissés en rade par rapport aux Fonds d’appui. Nous espérons vivement que les demandes liées à cette deuxième édition soient agréées », a conclu Mme Diakhaté.
Ci-dessous, les images de la Première édition

Le Vrai.
Un made in Sénégal qui ne se vend qu’aux africains et africaines, je dirais. Pour gagner des marchés, il faut sortir des sentiers communautaristes. Les photos d’ici illustrent bien le sectarisme. Qu’est ce qui bloque au point de ne oser présenter nos produits dans lieux autre que les petites salles gracieusement prêtées par une municipalité.
Le Vrai.