La Société financière internationale (SFI) a accordé un financement de 30 millions de dollars à la Banque El Amana (BEA), une institution privée en Mauritanie. Selon les informations rapportées par Agence Afrique, cette enveloppe est destinée à renforcer les capacités de prêt en faveur des Micro, Petites et Moyennes Entreprises (MPME), avec un accent particulier sur celles dirigées par des femmes.
Dans un communiqué officiel publié ce jeudi, la SFI, filiale du Groupe de la Banque mondiale, a détaillé que ce soutien financier permettra à la BEA d’accroître ses crédits à moyen et long terme. L’objectif affiché est de stimuler l’inclusion financière et de contribuer à la création de 6 100 emplois directs et indirects en Mauritanie au cours des cinq prochaines années.
Le financement intègre également une prime de performance issue du Mécanisme d’aide aux femmes entrepreneures. Cet appui vise à accompagner la stratégie de la BEA qui ambitionne de porter la part de ses prêts accordés aux femmes à au moins 25 % de son portefeuille global d’ici 2029. En complément de l’apport financier, la SFI fournira un accompagnement technique à la banque mauritanienne pour améliorer sa gestion des risques, ses processus de crédit, sa gouvernance d’entreprise et ses services bancaires intégrant l’égalité des sexes.
Cette initiative intervient dans un contexte où les MPME, qui représentent près de 86 % de la population active en Mauritanie, font face à des difficultés d’accès au financement. Près de la moitié d’entre elles sont confrontées à cet obstacle, ce qui freine leur croissance et leur contribution à l’économie nationale.
Cité dans le communiqué, le directeur général de la Banque El Amana, Mohamed Bouna Moctar, a salué cette opération qui « renforce le partenariat » entre les deux institutions et « témoigne de la confiance placée dans la vision et la trajectoire de développement » de la BEA. De son côté, Olivier Buyoya, directeur de la division Afrique de l’Ouest de la SFI, a affirmé qu’« en mobilisant des capitaux, en renforçant les capacités institutionnelles et en soutenant la création d’emplois, cet investissement contribuera à une croissance plus large, portée par le secteur privé » en Mauritanie.
Financements destinés en priorité aux mauritaniennes porteuses de projets mais ils iront pour une grande part dans les poches dès beydanes hommes qui achèteront 4×4 ,dromadaires,maisons à Las Palmas le reste passera dans la corruption des surveillants de cette gestion,et les femmes beydanes auront des miettes .
Les mauritaniennes noires attendront leur qui viendra à la Saint Glin glin …