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Finale coupe de la Ligue Monaco-PSG : 3 raisons de ne pas manquer le match

Monaco-PSG est donc le 43e et dernier match de cette édition 2016-2017 débutée le 9 août. Soit un duel entre les deux meilleurs équipes de Ligue 1, entre deux 8es de finaliste de la Ligue des champions (l’ASM est même en quarts), entre un triple tenant du titre parisien qui a quasiment tout gagné depuis trois ans sur la scène nationale et l’attaque la plus prolifique d’Europe.

1. Pour la première fois loin de Paris

Une page de l’histoire du football s’est tournée mardi 28 mars lors de France-Espagne avec, pour la première fois sur une pelouse française, le recours à la vidéo par l’arbitre. Cette finale marque une autre révolution. Jamais une finale de Coupe nationale, de France ou de la Ligue, ne s’était disputée loin de Paris ou de ses proches alentours (Saint-Denis, Colombes, Saint-Ouen).

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L’heureuse élue est la ville de Décines-Charpieu, hôte du stade flambant neuf du club de Lyon, le Parc OL et ses quelques 59.000 places. L’an prochain, la finale se jouera à Bordeaux, puis à Lille en 2019. Les trois premières éditions se sont déroulées au Parc des Princes, les 19 suivantes au Stade de France, qui accueille aussi celle de la Coupe de France depuis 1998.

François Hollande, qui ne sera plus en fonctions le 27 mai prochain pour la 100e finale de la Coupe de France, devrait être présent au Parc OL. Sont également attendus plus de 20.000 supporters parisiens et environ 6.000 Monégasques. Il s’agit du plus grand déplacement de fans du PSG depuis la finale de la Coupe des Cooupes remportée en mai 1997.

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2 Quatre à la suite pour le PSG ?

Déjà détenteur du plus grand nombre de victoires dans l’épreuve, six (pour une défaite en finale… face à Gueugnon, alors en Ligue 2, en 2000), le Paris Saint-Germain a l’occasion d’être le premier a réalisé le quadruplé à la suite. Le club de la capitale reste sur des succès sur Lyon, Bastia et Lille l’an passé. Une seule équipe a réalisé un tel triplé, l’Olympique de Marseille de 2010 à 2012.

3. Une affiche de « rêve »

Dans son troisième et dernier format lancé en 1994, la Coupe de la Ligue a déjà proposé des épilogues excitant pour le grand public, sur le papier et dans les faits. Exemples avec PSG – Lyon (2-1 en 2014), Marseille – Lyon (1-0 a.p. en 2012), OM-Bordeaux (3-1 en 2010), Lyon-Monaco (2 – 1 a.p. en 2001) ou encore PSG – Bordeaux (2-2 a.p., 4 t.a.b à 2 en 1998).

Tout en leur rendant hommage d’être arrivé jusque-là – ce qui a souvent permis au vainqueur de (re)conquérir un trophée -, il y a aussi eu des affiches moins passionnantes. Citons les PSG – Bastia (4-0 en 2015), Saint-Étienne – Rennes (1-0 en 2013), Marseille – Montpellier (1-0 en 2011), Bordeaux – Vannes (4-0 en 2009), Nancy – Nice (2-1 en 2006), Strasbourg – Caen (2-1 en 2005), Strasbourg – Bordeaux (0-0 a.p., 7 t.a.b à 6 en 1997)…

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