La femme fouettée à Guédé Bousso, à Touba, suscite polémique de la part des droits-de-l’hommistes sénégalais, qui réclament des sanctions contre les auteurs. Serigne Modou Bousso Dieng, au taquet, leur rabat le caquet.
Le jeune marabout n’est pas content du traitement fait par les droits de l’hommistes du cas de Guédé. « Parfois, ces derniers font du zèle en défendant l’indéfendable. D’ailleurs, explique-t-il, ce cas dont on parle a longtemps cours à Touba, particulièrement à Guédé ».
Pour le respect du parallélisme des formes, ces droits de l’hommistes ne doivent-ils pas interdire l’arrestation des consommateurs d’alcool ou de cigarettes à Touba ? Parce que, argue-t-il, aucune loi sénégalaise n’interdit la consommation d’alcool ou de cigarettes.
« Ils sont très petits pour légiférer sur la croyance d’honnêtes citoyens, sur leur liberté de croyance. Pourtant, ils ferment les yeux sur les violations des droits de l’homme aux Etats-Unis et partout à travers le monde, il est temps que ça arrête. »
Regardez :
la seule question que je pose est qui si la femme était marié qu’elle serait son sors
Quelle absurdité et quelle indignité pour une république laïque. Tous ces religieux devraient disparaître pour que le pays puisse avancer sur la voie du progrès et de la libre pensée. Le moyen âge est fini, mais certains abrutis ou débiles mentaux ne l’ont pas encore compris. C’est en Iran ou en Afghanistan que ces gens-là doivent émigrer.
waax deugeu yala mane dama yakaroone
dagne koo forsé bouféké mo ko sakoul boopaam mane guisoumasii
lou aaye raakh cii dolii l’islam
nangounako diné mooko digeulé
dii balou axx
nieep
ce monsieur est en manque de repères
tes vidéos arrivent imbécile et on espère que ce jour là tu ne demandera aucune aide d’aucun droit de l’hommiste chacun son tour.
Quelle vidéo ?
Vous avez piraté son téléphone ?
Cette pratique est une recommandation divine . Et ici à Guédé Bousso on n’impose pas cette loi à personne c’est à celle ou celui qui a commis l’adultère de venir se confesser devant l’imam ou le khalif en exprimant sa volonté de repentir et on lui inflige cette peine.