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Fatou Fall, découvrez la première femme générale de l'Armée sénégalaise (Photos)

Le médecin-colonel Fatou Fall a été promue médecin-général de brigade par le président Macky Sall, marquant ainsi un tournant historique dans l’Armée sénégalaise, en devenant la première femme générale du pays. Le ministre des forces armées, Sidiki Kaba, a annoncé cette nouvelle mardi.

Le ministre Kaba a souligné l’importance de cette nomination historique en déclarant : « Le président de la République a eu à faire 3 importantes nominations de généraux, mais la nomination phare, c’est la nomination du médecin-colonel Madame Fatou Fall qui devient ainsi la première femme générale au Sénégal. C’est historique. Nous lui souhaitons bonne chance, de même que ceux qui ont été aussi nommés, que ce soit l’intendant général de brigade Ibrahima Ndiaye ou le général Cheikhou Camara.« 

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Le parcours du médecin-colonel professeur Fatou Fall est impressionnant. Engagée en 1985, elle est diplômée de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar en 1992. Sa note biographique indique qu’elle a obtenu le Certificat d’études spéciales en hépatologie et gastro-entérologie à l’Université d’Abidjan (Côte d’Ivoire) en 2002. Fatou Fall est également professeur en hépatologie et gastro-entérologie à l’École du Val-de-Grâce à Paris depuis 2012.

Actuellement chef du service d’hépato-gastro-entérologie à l’hôpital Principal de Dakar (Sénégal), le médecin-général de brigade Fatou Fall est membre de la Société sénégalaise de gastroentérologie et d’hépatologie (SOSEGH), membre de la Société africaine d’hépatologie et de gastroentérologie et de la Société française de gastroentérologie. Cette promotion témoigne des avancées en matière de parité et d’égalité des sexes dans l’Armée sénégalaise.

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5 commentaires

  1. Gaetan

    Si soutenir les oppresseurs, même avec un fragment de datte, ou même par le simple souhait qu’ils restent en vie, est une chose contre laquelle les Imams d’Ahl-ul-Bayt ont mis vivement en garde les Musulmans, quel péché impardonnable serait de participer à un gouvernement oppresseur, d’accepter d’y occuper une fonction ou de lui prêter serment d’allégeance, ou pis encore, de faire partie des piliers d’un pouvoir injuste et de contribuer activement à l’installation et à la consolidation de ce pouvoir. Car, comme l’a dit l’Imam al-Çâdeq, « un régime oppresseur, c’est le minage de tout le bon droit, le ravivage total du faux, la résurgence de l’injustice, du despotisme et de la corruption


  2. Ben Diouf

    Félicitations Générale!! Heuh ! Une Générale sur combien ? Vous avez dit « avancée en matière de parité » en 60 ans? Hum! A cette …vitesse ,il y en aura peut …10 à la fin du 3 ème millénaire…tous les espoirs sont permis…


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