Elle a envahi l’univers tout entier, cette pandémie du covid-19 avec plus de 140 pays déjà chopés par celle-ci entraînant ainsi un arrêt ou du moins, un ralentissement soudain des échanges et déplacements.
Aujourd’hui, la principale question qui préoccupe les gouvernements est la limitation ou l’interruption définitive de la propagation du virus par la prise de mesures des autorités étatiques et sanitaires.
Le 18 mars dernier, nous avons assisté à la fermeture des frontières terrestres, maritimes comme aériennes par l’effet des nombreux cas importés. Ce 23 mars à minuit est entré en vigueur le décret présidentiel portant l’état d’urgence suivi d’un couvre-feu de 20h à 06h du matin à partir de ce 24 mars sur toute l’étendue du territoire national.
Des mesures que nous jugeons venues à son heure au moment où la chaîne de transmission devient de jour en jour croissant avec l’apparition des cas communautaires, autrement dont on ignore l’origine.
Ces mesures, quoi que très importantes, nous conduisent à réfléchir sur les éventuelles conséquences d’un éventuel prolongement de cette pandémie sur l’échelle mondiale en général, au niveau national en particulier.
Sans aucun doute, les impacts seront désastreux, fatals, tragiques pour ne pas dire meurtriers. Nous parlons de covid-19 aujourd’hui. Une autre pandémie giclera ayant une conséquence directe du covid-19 et de ses mesures.
Il s’agira de la boulimie encore appelée famine, une maladie moins inconnue dans le monde particulièrement dans certains pays asiatique et d’Afrique. Nous assisterons à un show où des milliers de familles seront ruinés, où des « pères et mères de familles, sans forces » seront condamnés à suivre le rythme d’un spectacle de la douleur de leurs enfants sans pouvoir leur venir en aide.
Sans ambages, la vie sera un enfer fini sans que personne ne puisse se soucier de son prochain par faiblesse et manque de moyens. Par ailleurs, il ne s’agit nullement un souhait. Mais, une alerte, une prévention ou une conscientisation de la population mondiale particulièrement sénégalaise de la gravité de ce virus, covid-19.
Partant, la conscience patriotique, le respect des mesures prises et édictées par les autorités étatiques et sanitaires, la discipline sont les seuls ponts pour rejoindre la rive d’un monde, à nouveau, fluide et paradisiaque.
SEYDI Ibrahima Nima, Doctorant en Droit Privé
C’est bien dit mon frère et continue dans cette lancée. En tout cas on est dans une situation très grave à l’heure actuelle.Cet pandémie est une guerre sans arme donc respectons les consignes données. Une hécatombe humanitaire totale de la vie et aussi la déclaration de la faim. M.Seydi l’Afrique doit se réveiller en particulier et mettre fin de cette mauvaise colonisation. …
Je vous remercie tous, particulièrement à ceux qui ont laissé un commentaire, d’avoir consacré votre temps à lire ces quelques lignes.
Me Seydi, l’heure est grave. Elle est grave pas seulement pour la pandémie mais également socio-économique qu’elle va engendrer dans le monde.
Nous prions à tout un chacun de respecter les mesures d’hygiène et administratives édictées par les autorités étatiques. Cela va de notre intérêt. Par conséquent, de notre bien être.
Bien dit mon cher. J’avoue que la clarté de votre propos n’a d’égale que sa pertinence.
Me SEYDI ! Un leader jeune au service de son peuple. Vous nous avez gratifié une très belle chronique. Bref, nous saluons votre originalité.
Trés pertinent mon frére, j’espére un bon nombre de personne sera à mesure de voir l’angle restrzint de ce message. Un alerte aux parents et et aux responsables est à ce jour mis à son temps. Merci a toi bon courage.