En prélude à la célébration de la Journée internationale des droits de la femme, qui coïncide avec le 8 mars, le Centre de la CEDEAO pour le développement du genre et le Groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’Ouest (GIABA) ont organisé ce mardi un panel animé par Penda Mbow, la cheffe du bureau sénégalais Awa Ba, Wasso Tounkara, féministe et formatrice en activisme créatif. Le thème portait sur : « Investir en faveur des femmes, accélérer le rythme. »
Selon Sandra Oulate Fattoh, le thème retenu souligne l’importance cruciale de l’investissement dans l’éducation des filles pour garantir le respect de leurs droits et assurer leur autonomisation économique.
La directrice du Centre de la CEDEAO pour le développement du genre (CCDG) explique que malgré les progrès réalisés, de nombreux obstacles persistent.
Selon elle, de nombreuses filles dans la région de la CEDEAO sont encore privées de leur droit fondamental qu’est l’éducation en raison de facteurs tels que la pauvreté, les mariages précoces, les normes culturelles restrictives et les conflits armés.
Ces obstacles compromettent non seulement le bien-être des filles, mais également le développement durable de nos sociétés dans leur ensemble.
