Mais la pauvre Djeyna, mineure issue d’une famille démunie est originaire de Kolda A presque 693 Km de Dakar. Un patelin éloigné et austère connu pour manger ses propres filles. Victimes souvent de grossesses précoces. D’ailleurs le taux y est élevé.
Mais ce n’est pas une raison d’abandonner Djeyna. De la clouer au pilori. Parce qu’un homme haut placé qui a eu une emprise certaine sur elle a détourné. L’on n’est pas dans le secret des dieux ni des juges pour savoir ce qui s’est passé sous la couette ou deviner ce qui s’est dit sur les Procès-verbaux d’enquête. Mais l’histoire de cette fille que la société a déjà condamnée pour avoir accepté d’habiter dans un appartement payé gracieusement par Diop Iseg ressemble à bien des égards à celle de la patineuse Sarah Abitbol. Cette sportive célébrée en France a écrit dernièrement un livre pour raconter et dénoncer les agissements de prédateur sexuel de son entraîneur Gilles Beyer. Qui les soirs d’avant compétition, pénétrait au sens propre et figuré, par effraction dans sa chambre, munie d’une lampe torche pour faire le « tonton Saï Saï ». La vaste flopée d’indignation des femmes des milieux des médias, des intellectuels de tous bords a conduit à ce que Gilles Beyer présentât ses excuses qui ne furent pas acceptées par la victime. Puis, le tollé a fait que le Président de la Fédération de patinage a démissionné. Le 8 mars, il se compte sur les doigts, les femmes qui se sont apitoyées du sort de Djeyna. Personne. Est-on si lâche à ce point dans ce pays, pour abandonner cette pauvre fille à elle-même?
Au Sénégal, les indignations sont souvent sélectives. Et Parfois sous leurs faux airs, de grandes dames se sont érigées en défenseurs de Diop Iseg, condamnant Djeyna, comme s’il s’agissait d’une rivale. Mais on est où là? Cette fille Djeyna n’a que 17 ans. Bon Dieu. La fille de…l’accusé Abiba a même plus de corpulence qu’elle, plus de maturité qu’elle.
Au Sénégal, certains donneurs de leçons se sont empressés de brûler une émission télé. Parce que Djeyna y a fait ses beaux jours. Et Rangou non? Arrêtons de mener des combats par procuration. Dans cette bataille judiciaire, le vrai combat qui vaille est de faire en sorte de lutter contre tous ses groupes de pression tapis dans l’ombre qui essaient de sauver Diop Iseg des griffes de Dame Justice. Et d’entacher d’une tache noire la réputation déjà ternie d’une fillette de 17 ans. Ce n’est pas juste. T’en fais pas Djeyna, la vérité finira par triompher…Tiens bon!
T AS TOUT DIT MON CHER TU N AS FAIT QU ECRIRE MA PENSEE. QUELLE GRANDE HONTE A TOUTES CES FEMMES DU 8 MARS OU CES SOI DIS ANTES FEMINISTES OU (FIMISTEES) A 2 BALLES QUI FONT QUE DU VOYEZ MOI COMMENT VOULE, QU ON VOUS AIDEETAIDEZ VOTRE CAUSE ALORS QUE VOUS N AVEZ PAS OSEES OUVRIR VOS GRANDES GUEULES EN CE BEAU MOIS DE MARS DE LA FEMME ET QUE CE 8 COINCIDE AVEC CE VIOL NON DE ONCE PAR VOUS. VOUS FAIT ES VRAIMENT HONTE. FEMINISTES BOUMA FI DEUGUE MOUYE CASSR MA NDAKAAR NDEYAM
Soutien total à cette jeune fille mineure, qui contrairement à ce qui se raconte, a été abusée par son mentor. Le mec a trahi la confiance de la famille, et Dieyna a cèdé à la pression de son bienfaiteur.
Arrête tes textes lyriques et comporte toi en vrai journaliste.
On te voit venir larron !
Bien dit
Tout a fait vrai mais sa ne sera pas un alibi, on poursuit la bataille.
Je suis Diéyna
Que justice soit faite
Tu as raison le sénegal est un d hypocrites seul l’argent conte