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Cpi: Enfin un pays africain veut prendre son destin en main

Le régimes Burundais, croit leur pays en dehors du monde. Les dirigeants épinglés par les enquêteurs de l’ONU, décident de sortir leur pays de la Cpi.

Chaque mois c’est les exactions qui font le quotidien des burundais. La loi n’est qu’un beau mot qui  est dit pour adoucir l’oreille de celui qui veut l’entendre. Épingle par les enqueteurs de l’Onu, et se sentant menacé, le pouvoir burundais décide tout simplement de se retirer de la Cpi afin de se protéger du sort qu’a connus l’ex président ivoirien Laurent GBAGBO.

12 hauts responsable Burundais sont déjà dans la liste rouge de la Cpi. Parmi eux, le ministre de la Sécurité publique et numéro 2 burundais, le général Alain-Guillaume Bunyoni, le chef d’état-major de l’armée, le très redouté patron des services secrets burundais, ou encore un des chefs de cabinet du président Pierre Nkurunziza.

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Le palais Burundais cris au complot et accuse l’international de faire de l’ingérence. La société civile se félicite de la décision prise par la cpi car depuis longtemps encore elle a vu ses droit aliénés et restreints. Me Armel Niyongere, président de l’ACT-Burundi (Association des chrétiens pour l’abolition de la torture au Burundi) a dénoncé une décision d’un pouvoir aux abois, qui a peur des poursuites qui pointent à l’horizon pour « une clique habituée à l’impunité », en rappelant la liste des 12 personnalités, établie par l’ONU, qui pourraient faire l’objet de poursuites pour crimes contre l’humanité. Mais « la machine est déjà en marche », assure-t-il et peut-on entendre dans les ondes de rfi.

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