En Côte d’Ivoire, malgré une loi interdisant les produits dépigmentants dangereux, le blanchissement de la peau persiste. Cette pratique, qui n’est pas sans conséquences pour la santé, incluant vergetures et infections cutanées, reste prisée. Le dermatologue Mamadou Kaloga du CHU de Treichville alerte sur les complications rencontrées par ses patients, avec près de 500 cas annuels liés à cette pratique.
La quête d’une peau claire s’effectue aux dépens de la réglementation en vigueur depuis huit ans et malgré les risques avérés comme l’insuffisance rénale ou le diabète. Les critiques pointent l’inaction des autorités face à un phénomène culturellement ancré, au point que certaines femmes l’appliquent même à leurs enfants, perpétuant ainsi les dangers associés au blanchissement de la peau.
Eh oui. C’est une révolution dé . Au Sénégal c’est pire. Meme chez les hommes la depigmentation. Ma foi!
Eu lieu de parler de la côte d’Ivoire le Sénégal est bien représenté non