L’argumentaire brandi par les députés pour ne pas voter le Code de la presse ne convainc pas Assane Dioma Ndiaye, président de la Ligue sénégalaise des droits de l’homme(Lsdh).
«Dire que si on dépénalise, mentionne-t-il, il y aura une rupture de légalité entre les citoyens ne me parait pas pertinent. Les journalistes demeurent des citoyens. Par rapport aux infractions auxquels tous les Sénégalais sont susceptibles d’être soumis, les journalistes demeurent soumis. Mais là, le problème ne concerne que de ce qui peut arriver dans le cadre de la profession».
Selon lui, «on peut trouver un moyen de compenser le préjudice dans la partie supposée victime sans pourtant envoyer quelqu’un qui aurait simplement commis une maladresse ou commis une faute professionnelle. Les journalistes ont évolué et parlent de déprisonalisation et non pas dépénalisation. Il est normal de les protéger en vertu du droit à l’information des citoyens et de leur devoir d’informer dans des conditions difficiles».
Non,Me ! Parfois votre argumentaire est si tendancieux que je me demande si vraiment vous défendez le citoyen! Vous faites confiance aveugle aux journalistes au detriment de la sauvegarde de l’honorabilité du simple citoyen.Or l’on sait cimment fobctionne ka plupart de nos hommes de presse ,toujours là à reclamer « leur transport » pour un reportage,une couverture d’un événement ou autre activité de leur ressort. A vous suivre on doit permettre au voleur ,à l’assassin de ne plus aller en prison ,et leur permettre de tout simplement s’autopunir.C’est dand cette veine que je n’ai compris votre refus de condamner les deckaratuons incendiaire de l’ancien CHEF de l’ETAT.(les majuscules pour montrer le symbolisme qui s’attache à cette fonction.)
tout a fait vrai.comme quoi,si on veut être l’avocat du diable,on fini par défendre n’importe quoi!
Metier de Journalisten n´est pas plus important quer le Metier de medecin .je ne vois pas pourquoi un medecin peut entre puni síl fais mal son travail et un Journaliste pas. En plus tour le monde sais que la presse senegalaise n´est pas und presse responsable.