La République sénégalaise a perdu de son éclat après soixante-quatre ans de luttes acharnées. De Léopold Sédar Senghor à Bassirou Diomaye Faye, le Sénégal a parcouru un long chemin. Autrefois respecté malgré sa pauvreté économique, le pays inspire aujourd’hui condescendance et pitié.
Senghor, visionnaire et aristocrate, a su placer le Sénégal dans les hautes sphères de la diplomatie mondiale. Sous son égide, le pays a accueilli des événements prestigieux comme le Festival mondial des arts nègres en 1966. À l’époque, le Sénégal était un modèle malgré les défis de la famine et des manœuvres de l’ancienne métropole pour maintenir la dépendance.
Le contraste est frappant avec la situation actuelle. Le Sénégal d’aujourd’hui se présente comme un pays en quête de dignité, où la pauvreté et la charité ont pris le dessus. Le journal télévisé loue régulièrement les dons internationaux et les soutiens divers, symboles d’une misère persistante.
Le Sénégal de Senghor limogeait même les ministres pour des inconduites mineures. Ce souci de l’éthique et de la tenue a progressivement disparu. Les années 1980 et 1990 ont marqué un déclin avec l’arrivée au pouvoir d’Abdou Diouf, qui prônait une économie de la pitié. En 1988, Abdoulaye Wade, alors opposant, encapsulait cette réalité avec son slogan promettant « le prix du kilo de riz à quarante francs ».
L’ère Wade a accentué ce penchant avec le culte de la charité et une politique populiste. Macky Sall, son successeur, a continué dans cette voie, multipliant les aides et les bourses familiales. Aujourd’hui, le Sénégal peine à reconquérir sa grandeur perdue.
La dégradation est aussi perceptible dans le domaine des affaires. Celui qui était surnommé « Pierre le Bâtisseur » sous Senghor, a perdu de sa superbe. Aujourd’hui, Pierre Goudiaby Atepa se bat pour des questions de terrain et fait face à des accusations de diffamation, symboles d’une époque où l’ambition grandiose a laissé place à la médiocrité.
Bo deme da mandeti de. Sanguara bakhoul….
Espérons que le nouveau régime mettra fin à cette mendicité légendaire
Espérons que le nouveau régime mettra fin à cette mendicité légendaire et que les partenariats seront dorénavant juste et équitable
Si on ne le soigne pas, ce hibou va bientôt commencer à faire caca sur ses habits et traîner dans les rues.
L’hôpital de fann ne fait plus son boulot.ce gars est a interner avant qu’il ne soit tard
Oui ce pays va droit au mur avec det etat pastefien avec ses soidisants politiciens
Excellente analyse. Merci grand Ibou !
Excellente ? Mon œil ! grand ibou est dans ses habits habituels de mercenaire de la plume. Se prêter à l’historien fan du poète-president qui n’a que plagié l’état laïque français à coups de matraque & brimades, ou/et frimer par la diplomatie de l’agrégé de grammaire, pour finir par égratigner Pierre l’architecte! Madiambal le clivant a un défenseur !!!
Je veux ajouter qu’un bâtisseur incontestable ne devrait nous laisser en héritage le problème mfdc, et des droits d’auteur à payer à lui ou son descendance sur un hymne qu’il s’est fait fort de nous imposer -abus de position !
grand ibou se déshabille de plus en plus ! Finira t’il par ne garder que le caleçon pour se retrouver
ibou !?! Il est encore temps de se ressaisir, le marché des jobs éthiques & durables ne sont jamais…saturés !
V pas vrai c senghor li a mis en place les semences des situations ke nous vivons. D’abord en exerçant une dictature sur mamadou dia avec avoir fait éclater la federation du mali sur ordre des francais. Il n’est oas l’exemple.