L’ancien député de la 14e législature, Cheikh Abdou Mbacké Bara Doli Mbacké, accroché par Senego, s’est exprimé sur l’actualité politique nationale. De l’élection du nouveau maire de Dakar à l’avenir politique de Barthélemy Dias, en passant par les relations entre majorité et opposition, le marabout-politicien n’a pas mâché ses mots.
Concernant l’élection d’Abass Fall à la tête de la capitale, il a salué « la transparence qui a accompagné le processus ». Il n’a pas manqué de féliciter le nouvel édile : « Il connait bien Dakar et je sais qu’il est compétent. C’est une justice qui revient. J’espère que la population de Dakar en tirera le meilleur parti. »
Sur le rejet du recours-suspension introduit par Barthélemy Dias à la Cour suprême, l’ancien député a estimé que la décision ne souffre d’« aucune irrégularité ». Et d’ajouter : « Le droit et les lois sont au-dessus de l’élégance. On acceptera le 18 septembre le sort qui lui sera réservé, car la loi, c’est la loi. »
Interpellé sur la rupture de dialogue entre majorité et opposition, Cheikh Abdou Mbacké Bara Doli a tenu à rappeler que « le dialogue national a été organisé et ses conclusions seront mises en œuvre via l’Assemblée nationale, c’est ça l’essentiel ».
Mais il a vivement critiqué certains acteurs :
« Une opposition doit être fertile en idées. Or, on voit aujourd’hui ceux qui ont pillé l’économie de ce pays envoyer des mercenaires dans les médias pour injurier le président Diomaye et son Premier ministre Ousmane Sonko, qui sont des institutions. Cela, au lieu d’apporter des arguments liés au développement du Sénégal. Diomaye et Sonko n’ont emprisonné personne. Ceux qui ont violé la loi ont affaire à la justice. »
Abordant l’avenir politique de Barthélemy Dias après sa rupture avec Khalifa Sall, il s’est montré catégorique : « Il n’a pas d’avenir politique. C’est un jeune empressé, sans conseillers. Khalifa, mû par ses propres intérêts, et Barthélemy, qui se croit suffisant, sont pareils. Ils ont joué leur partition dans les difficultés de ce pays. Mais pour moi, ils n’ont aucun avenir politique. »
Quant aux perspectives pour le duo présidentiel, le marabout-politicien les invite à rester concentrés sur leurs priorités : « Diomaye et Sonko doivent se préoccuper des besoins des Sénégalais qui croient en eux. La justice est en marche, le redressement des comptes aussi, la transparence dans le pétrole et le gaz progresse, l’économie et la sécurité sont sur la bonne voie. Cela mérite patience, au lieu des injures à tout bout de champ. Cessons les campagnes électorales et mettons-nous au travail. »
Cheikh Abdou Mbacké Bara Doli a ajouté en adressant une pique à l’ancien président : « Les pressions de Macky Sall et de ses proches ne feront pas ralentir la cadence. »
Sonko va vous etaller tous c le meilleur
Urgent Fallou Fall est libéré
ce goordjiguene doit se taire il n est plus a la page niak diom il veut que ce doulkate de ousmane sonko lui donne une poste
En voilà des hommes politiques versatiles, sans idéal si ce n’est la préservation de leurs propres intérêts. Comment peut-on appartenir à la mouvance présidentielle à chaque fous qu’une alternance se produit. Être avec Macky Sall, Abdoulaye Wade et aujourd’hui avec Bassirou Faye alors qu’on a toujours été contre. Vraiment M. Mbacke doit arrêter son griotisme ne serait-ce que par respect à la prestigieuse famille à laquelle il appartient. Accuser un ancien président de la République et son régime qu’il a toujours adulé, n’est pas digne de son rang. Le CFA seul demeure la raison de ses déclarations. Depuis déjà longtemps ce type cherche à faire plaisir au Pastef qu’il a toujours combattu même lors des dernières législatives. Avec cette majorité écrasante de 130 députés, le Pastef ne dour pas avoir besoin de s’allier avde tels ryoes. Heureusement que Ouslane Sonko connaît bien le Sénégal et la versatile de certains politiciens.
Tok mouy dokh, abana!!!!