Ouagadougou (AFP)-L’ex-Régiment de sécurité présidentielle (RSP), l’unité d’élite de l’armée burkinabè, auteur d’un coup d’Etat avorté contre le gouvernement de transition, « refuse » de poursuivre le désarmement, a annoncé lundi l’état-major général des armées dans un communiqué.
Ce processus de désarmement, prévu par un accord entre l’armée loyaliste et les putschistes est « dans une impasse », souligne l’état-major, qui dénonce « le refus de l’ex-Régiment de sécurité présidentielle (RSP, dissoute vendredi par le gouvernement, ndlr) de poursuivre le désarmement en créant des incidents et en agressant le personnel chargé de cette mission ».
Source: AFP via Afrique360.com
SANDENE, et si ils avaient tué ta famille? Tu pense que tu es plus important que les innocents tués? C'est justement des gens comme toi!
sandene, tu ne réfléchis pas trop. quel mea culpa? tu tue des citoyens comme tu veux et tu réclame un Amnesty. trop facile.
Kafendo a manqué de vision. L'idée de l'amnistie était la bonne. Diendéré ayant fait son mea culpa et la Cedeao ayant aussi accepté d'indemniser les victimes, il aurait tout intérêt à sortir de la crise. Les burkinabé doivent savoir raison gardée.
ils craignent des représailles à juste titre mais c'est l'armée qui doit les rassurer
oh l'Afrique