L’ancienne présidente du Parlement sud-africain, Nosiviwe Mapisa-Nqakula, a été de nouveau convoquée devant le tribunal ce mardi 9 juillet 2024, pour répondre à des accusations de corruption et de blanchiment d’argent.
Le tribunal de première instance a décidé de transférer son affaire à la Haute Cour de Pretoria, où un jugement est prévu pour le 16 octobre prochain.
Ces développements indiquent que le parquet est convaincu de la solidité de son dossier, Mapisa-Nqakula étant accusée d’avoir accepté 4,5 millions de rands d’un sous-traitant de la défense durant son mandat en tant que ministre de la Défense sud-africaine.
Suite à son inculpation en avril dernier, elle a démissionné de son poste de présidente de l’Assemblée nationale. Mapisa-Nqakula continue de nier fermement toutes les accusations portées contre elle.