Plus d’un an après les violentes manifestations pré-électorales de 2024, l’État annonce l’ouverture d’enquêtes judiciaires. Interpellé ce lundi à l’Assemblée nationale, lors de l’examen du projet de loi portant création de l’OFNAC, le ministre de la Justice, Me Ousmane Diagne, a expliqué les raisons du délai observé avant d’engager des poursuites.
Selon le Garde des Sceaux, il était juridiquement impossible d’avancer sans attendre la décision du Conseil constitutionnel sur la loi d’amnistie, plusieurs fois révisée puis partiellement corrigée. « Il a fallu attendre la décision du Conseil constitutionnel sur la loi d’amnistie. Des enquêtes sont désormais ouvertes. Il ne faut pas céder à la précipitation au nom de la célérité : mieux vaut avancer avec rigueur afin d’éviter tout risque de vice de forme », a-t-il déclaré dans cette vidéo exploitée par Senego.
Saisi par correspondance, le procureur général près la Cour d’appel de Dakar est désormais invité à ouvrir des enquêtes sur ces événements, que le ministre n’exclut pas de qualifier de « crimes contre l’humanité ». Une précaution, dit-il, pour éviter toute annulation future des procédures.
« L’objectif final doit rester clair : que les personnes responsables de ces crimes soient inculpées, jugées, condamnées et emprisonnées », a martelé Me Diagne, en réponse à une interpellation du député Guy Marius Sagna.
Pour le ministre, la complexité du cadre légal et l’évolution rapide des textes justifient la prudence de l’État. « Les choses n’étaient pas aussi simples. Il fallait faire très attention pour ne pas violer la loi, d’autant que celle-ci a changé en l’espace de peu de temps », a-t-il insisté.
Ce pas franchi marque donc un tournant : après de longs mois d’attente et de débats sur l’amnistie, les enquêtes judiciaires sont officiellement ouvertes pour faire la lumière sur les violences pré-électorales de 2024.
C’est de 2021 à 2024 qui ‘il y’a eu des violences
LA JUSTICE POUR LES MARTYRS EST UNE DEMANDE SOCIALE.
Si le gouvernement actuel envoie des officiers supérieurs de la Gendarmerie en prison, l’armée dite sénégalaise organisera un coup d’Etat pour les protéger judiciairement.
Sonko le sait.
Donc Sonko doit organiser un simulacre de justice.
Si le verdict de ce crime contre l’humanité était prononcé aujourd’hui, le peuple sénégalais se révolterait.
Donc Sonko veut que le peuple sénégalais OUBLIE ce crime contre l’humanité avant d’organiser un simulacre de justice.
Donc Sonko a donné l’ordre de à l’institution judiciaire de faire le nécessaire pour que l’enquête relative à ce crime contre l’humanité dure PLUSIEURS années.
Voilà ce qui arrive à un peuple qui porte au pouvoir des Gauchistes c’est-à-dire des gens qui ne sont que « mensonges et homicides » selon Jésus-Christ.
ILS se sont amnistiés.
Donc ILS ne risquent rien.
ILS le savent.
L’inutile ministre de l’injustice a encore ouvert la bouche pour ne rien dire.
Commencer les enquêtes seulement maintenant quand on nous disait pourtant que tout les dossiers étaient déjà bouclés que les arrestations allaient bientôt commencer.
Fenstef à encore été attrapé la main dans le sac de son propre mensonge.
Vous venez d’avouer que vous avez seulement commencer maintenant et vous pensez que l’on va vous croire. Le moment est passé, car la majorité des coupables ont déjà quittés le Sénégal. Vous n’êtes pas capable de rapatrier Doro Gueye alors imaginez Mame Mbaye Niang, Doudou Ka, et les autres sans oublier Macky le chef de gang. Comment un gros gaillard peut sortir des mensonges aussi grotesques ?
C est clair.
Communiqué venu de qui de droit et à Point nommé.