Un des actionnaires de Kopar Express placé en garde à vue
L’enquête sur la société Kopar Express a pris un tournant important lundi, alors qu’un de ses actionnaires a été placé en garde à vue. Selon le journal « Libération », Seydou Ba, détenant 25% des parts du capital de la société, a été convoqué pour être entendu en présence de son conseil.
Le parquet avait précédemment ouvert une information judiciaire contre Hannibal Djim, Kopar Express et un tiers non identifié pour des accusations graves, telles que le complot contre l’État, les actes de nature à causer de graves troubles politiques et à compromettre la sécurité publique, et le financement d’activités pouvant compromettre la sécurité et causer de graves troubles politiques.
Hannibal Djim a été placé sous mandat de dépôt, et le juge du 2e cabinet en charge de l’information a envoyé une délégation à la Sureté urbaine pour poursuivre les investigations.
To lene foffou di wakh rekk te bagna diok takhaw. Ma bagne bi peuple. Insurection bi dina nieuwe. Insurection bi cest maintenant amoul khar. Louniouye khar?
INCROYABLE MAIS VRAI !!! C’est du jamais vu ! Emprisonner d’honnêtes citoyens qui gagnent leur vie à la sueur de leur front , sous prétexte que ce qu’ils font est illégal dans ce pays. Kopar Express a les mêmes responsabilités civiles et juridiques que les autres transferts d’argent comme Omoney, Wave , Ria, Moneygram, etc. Pourquoi cibler une structure que les sénégalais ont choisie pour y faire passer leur argent ? Comment, dans ce 21e siècle, un Etat peut-il se permettre de taxer les opérations d’entraide et de solidarité entre des militants ou des citoyens dans le besoin ? Est-il interdit dans ce Sénégal à un parti politique quelconque de demander à ses militants de financer ses activités ? Quel recul démocratique ! Quelle régression !
Et le tout avec la bénédiction des religieux.