L’écrivain Élie Charles Moreau : «Sonko fait partie de la race des derniers intellectuels dont l’Afrique a besoin. »

L’écrivain et poète Élie Charles Moreau n’a pas tari d’éloges envers Ousmane Sonko lors de l’émission BP. En analysant le discours du président des Patriotes sur Frantz Fanon, prononcé au Musée des Civilisations Noires à l’occasion du centenaire de la naissance du penseur anticolonialiste, Moreau a affirmé : «Ousmane Sonko fait partie de la race des derniers intellectuels dont l’Afrique a besoin. »

Pour Moreau, Sonko incarne un leader dont la stature dépasse l’image publique : il est une véritable locomotive dans l’imaginaire africain et panafricain. « Son discours, dit-il, est un prétexte pour rassembler les gens autour d’une vision. Même ceux qui ne l’acceptent pas doivent reconnaître les sacrifices qu’il a consentis pour défendre ses convictions. »

Ousmane Sonko, selon Moreau, représente ces intellectuels qui donnent leur vie pour une cause. Il a choisi la politique alors qu’il n’avait aucune obligation matérielle, contrairement à la majorité des Sénégalais de sa génération, souvent focalisés sur une maison, une voiture, une compagne et les voyages.

Dès son plus jeune âge, Sonko a décidé de suivre une voie différente, inspirée par le prophète Mohammed, qu’il considère comme son modèle. « Ousmane Sonko n’est pas qu’une image, c’est un discours. Et lorsqu’on le suit, on découvre l’homme derrière le leader, sans qu’il ait besoin de se présenter », conclut Moreau.

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5 commentaires

  1. Eli t as décu encore un grand intellectuel comme toi qui devient laudateur d un petit minable honte à toi


  2. Eli cessé de mentir ce que l’Afrique a besoin c’est un langage, limpide pure et dénudée de tout mensonge, ne nous bercé pas avec vos mensonge interminable


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