Un an après son mariage, Adiouza à quelques pas du divorce…
Qui l’aurait cru ! Adiouza serait sur le point de divorcer avec son époux avec qui elle a convolé en justes noces, il y a à peine un an. En plus, ils viennent d’être parents d’un petit garçon.
Célébré en toute discrétion, le mariage de Adiouza avait fait couler beaucoup d’encre. Même s’il n’y avait pas des photos exclusives de la cérémonie, tout le monde en parlait, commençant par Pape Cheikh Diallo dans l’émission « Yewuleen ».
Ainsi, avec son tube « Mariage », sorti vendredi dernier, qui fait actuellement fureur sur la bande Fm et les réseaux sociaux, personne ne s’attendait à une telle nouvelle, voire un tel craquement. D’aucuns diront que c’est une stratégie pour dissimuler une réalité beaucoup plus sombre. Mais, tout ce que l’on sait, c’est que le mariage de Adiouza bat de l’aile, révèle le journal L’Obs.
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Thieye jiguene gnii nguir yalla mougnelen nguén tok seuy …. seuyna tass na……. comme du pain
Vraiment vous n’êtes pas professionnel du tout. Comment pouvez vous publier une rumeur ???? Ah j’oubliais c la presse en ligne, elle a le droit à tout vraiment lol même écrire un article avec des « on dit » « Si » « une source proche « ….
Presse en ligne vraie poubelle à recyclage
Thieuy sééyou diamono’ji ! c’est l’institution du mariage et sa pertinence qui est présentement en question ! C’était jadis les engagements sur l’honneur « NGOR » mutuel (ngoro, ou goro) très solides dans nos rites ancestraux que les religions étrangères (Islam, Christianisme, et la nouvelle religion new age que sont l’ARGENT ET LE PRESTIGE) ont complètement dénaturé !!!! c’était les alliances matrimoniales sur la base de l’honneur (et plus tard l’amour) qui étaient les plus solides et éternelles ! si vous voulez un mariage qui dure allez dans le sénégal des profondeurs qui ont conservé leurs codes d’honneur !
Bougane rtkkk sénégal dieu kanak
sonko dém guinaw
Laissez ces filles du showbiz tranquille. Ce sont des filles pour juste passer le temps pas des filles pour se mettre en couple. Elle ont grandi dans la Zava « Diakhane ak poukkaré »