La dernière prise de parole d’Ousmane Sonko, visant directement le président de la République, a ravivé les crispations au sommet de l’État. Pour l’analyste politique Malaw Kanté, cette sortie traduit un profond malaise institutionnel aux répercussions encore incalculables. « Il faut une médiation d’urgence », avertit-il.
« Ce n’est encore qu’un discours, rien d’officiel à ce stade. Mais il faut reconnaître que cette posture peut entraîner des conséquences, à court ou à moyen terme », souligne Malaw Kanté.
Selon lui, cette confrontation inédite entre le président de la République et son Premier ministre est un symptôme d’un déséquilibre qui pourrait s’aggraver.
« Aujourd’hui, on voit des autorités, à divers niveaux, s’en prendre directement au président. Le fait que ce soit désormais le Premier ministre qui monte au créneau inquiète beaucoup. Cela traduit un climat d’instabilité, ou en tout cas un profond malaise. »
Malaw Kanté appelle à la retenue et au recours à des mécanismes d’apaisement.
« Il faut espérer qu’une médiation soit engagée rapidement. Peut-être que des voix sages du pays pourraient intervenir pour faire baisser la tension », propose-t-il.
Face à cette situation, il en appelle également à un sursaut de la part des principaux protagonistes.
« Le président a entre ses mains tous les leviers de l’État. Il peut décider d’appeler à l’ordre ou de calmer le jeu. Mais cela suppose aussi que chacun accepte de faire son introspection. On ne peut pas rester dans une logique de confrontation permanente. »
Enfin, Malaw Kanté met en garde contre une crise de communication qui mine l’exécutif.
« Quand tout le monde critique un chef de gouvernement, ce n’est pas anodin. Il faut se demander ce qui coince dans la stratégie de communication, et surtout, éviter que le pays ne bascule dans l’instabilité politique. »
Yalla na seytané khép dolli pastef la case brûle et ce n’est que le début
Faut-il sauver le soldat Pastef ?
Au lieu de vous dégourdir pour un meilleur devenir des Sénégalais vous avez fait focus dans la jouissance à outrance.
Chaque pastefien promue a pris une deuxième ou troisième épouse, une voiture de fonction bien « bakanée », et le mensonge à la bouche.
Ce sont les protagonistes qui doivent s’asseoir et se parler droit dans les yeux, Ils n’ont pas droit à l’échec face baux défis multiples à rcelever. Pour cheminer ensemble, nul ne doit se sentir en ses seules aise et guise. Chacun doit e se tempérer, s’accorder et composer, travailler en symbiose et en équipe.. Des points de vue latents doivent être clarifiés notamment Pr Diomaye doit pouvoir continuer sur un 2e mandat comme la Constitution l’a prévu. Le tandem doit persister dans sa consolidation et tenir le cap sur les défis malgré les attaques et un lourd passif hérité. Respecter la hiérarchie, éviter les conflits, respecter les droits humains et libertés démocratiques et ne pas réagir à tout. Patience et longueur de temps font plus que peine ni que rage. La hâte en toute chose est mère d’échec. Le pire Général est celui qui ne sait modifier ses plans sur un champ de bataille et s’adapter aux circonstances et aléas
Arrêtez d’extrapoler des choses que eux ne pensent pas au contraire ce franç parler doit juste vous montrer que il y’a une transparence et démocratie au Senegal