Le Procureur de la République, Serigne Bassirou Gueye, qui a qualifié la relaxe de Aïda Ndiongue et Cie de décision «illégale et troublante», continue d’essuyer des tirs de la communauté judiciaire. Le dernier en date est le président de la Ligue sénégalaise des droits humains (Lsdh).
“Au-delà de la réaction de l’Union des magistrats du Sénégal (Ums), il faut que le président de la Cour suprême demande à être reçu par le président de la République. Parce que, il faut à tout prix éviter une crise institutionnelle», tonne, sur la Rfm, Assane Dioma Ndiaye pour parer au plus pressé.
Parce que, poursuit Me Ndiaye, à partir du moment où l’on parle de décision illégale, on dénie aux juges qui font le droit de juger. « Aujourd’hui, mentionne-t-il, le Parquet s’arroge le droit de déclencher les poursuites, de soutenir l’accusation et de juger lui-même ».
Selon Assane Dioma Ndiaye, le Procureur de la République n’admet pas que les juges rendent une décision autre que celle de la volonté du Parquet. « Et cela devient extrêmement grave si nous voulons un Etat de droit efficient ».
Toutes choses qui font dire au président de Lsdh qu' »on est en train de tuer les vocations. Il faudrait que les plus hautes autorités judiciaires de ce pays prennent leurs responsabilités et parlent avec le président de la République pour la séparation des pouvoir, l’indépendance de la justice soit garantie ».
A KI LA FAUTE SI LE PRESIDENT FAIT DES NOMMINATIONS BIDONS ET PARTISANES
bien dit ces soit disant droits de l hommistes ne sont pass honnêtes ils sont formates par l eorope
Moi le citoyen senegalais je veux aller en France ,on m,exige un visa pour rentrer en France ,où est les droits de l,homme ,un citoyen a le droit de se déplacer partout dans le monde ,mais nous priver de déplacement ,où est le RADDHO ,LSDH ,Amnesty international,ces fumistes africains qui travaillent pour les colons