À l’approche du 2 avril, un voile d’inquiétude s’installe au Sénégal. Les craintes se multiplient face à une période jugée critique tant sur le plan politique que juridique. La Grande Peur s’empare des esprits. Dans cette atmosphère précaire, la Constitution semble abandonnée, l’éthique républicaine bafouée, et les conflits d’intérêts s’affichent ouvertement, nourrissant une ambivalence toxique vis-à-vis de l’État.
La loi, soumise à l’interprétation et à la conjoncture sociale actuelle, reste malgré tout le pivot central de la démocratie sénégalaise. La date du 2 avril représente le terme du mandat présidentiel et suscite de nombreux débats sur la gouvernance de transition. Samba Traoré, éminent juriste, avance qu’en l’absence d’élections à cette échéance, un intérimaire pourrait être désigné par le Conseil Constitutionnel, y compris le président sortant.
Dans un ton implorant, Traoré appelle à un retour au bon sens et à l’apaisement national. Il conclut que le Sénégal, en tant que nation, transcende les passions individuelles et mérite une stabilité préservée.
Nous vous soutenons à aller saisir la CPI pour que justice et sanction soient faites à l’endroit des tueurs et commanditaires .Jamais ce regime ne mettra la lumière sur ces atrocités. L’on ne peut amnistier sans condamnation et sans identification des auteurs de ces crimes de mars 2021 à février 2024.
l’amnistie arrange ses instigateurs à savoir ce regime finissant qui cherche où s’abriter pour éviter d’eventuellles poursuites.