Sénégal : 2500 emplois en péril avec la vente potentielle de Sedima…

Sénégal : 2500 emplois en péril avec la vente potentielle de Sedima…

Environ 2500 emplois sont menacés par la vente potentielle du groupe Sedima, selon les informations du journaliste Ayoba Faye. Les Grands Moulins de Dakar sont en pourparlers depuis plusieurs semaines avec la direction de Sedima en vue d’acquérir l’entreprise.

Ces discussions engendrent de grandes inquiétudes parmi les employés et les parties prenantes quant à la pérennité des emplois actuels. L’issue de ces négociations, encore incertaine, est cruciale pour l’avenir des nombreux travailleurs concernés. Nous suivrons attentivement l’évolution de cette affaire et vous tiendrons informés des prochains développements.

Pour rappel, depuis sa création en 1976, le Groupe Sedima exerce ses activités dans les secteurs de l’aviculture, de l’agro-business, de la minoterie, de l’immobilier et de l’élevage de volaille.

11 COMMENTAIRES
  • Bill

    Comment 2500 emplois en péril ?? Le repreneur ne ferme pas l’entreprise. Donc tout ou partie du personnel va rester.

  • Ngor

    Beaucoup vont quitter
    Un futur pays de chômeurs et de buveur de thé

  • Pipo

    1976😳😳😳😳😳

  • Wangrin

    Quand on a passé toute sa vie dans des dissimulations, quand le pot aux roses est mis, eh bien, les bénéficiaires de facilités fiscales exorbitantes plient bagages. C’est aussi basique que çà.

  • Zack

    C’est la ruée, ça fuit de partout, le système est entrain de tomber,👏👏👏👏

    • TruthHurts

      Nafèkh! Est ce que ce n’est pas ton cœur qui est entrain de tomber? 🤦🏾

  • Citron

    Ils sont plus protégé

  • Mr d

    C’est important de protéger les grandes entreprises nationales

  • TruthHurts

    Pourquoi ont ils décidé de le vendre? Parce l’ancien régime n’est plus là pour mettre les coudes sur leurs affaires?
    Il faut travailler sincèrement et respecter les lois de ce pays!

    • Bems

      En tout cas, c’est sa société. Il en fait ce qu’il veut. Il est mille fois libre. Au lieu de parloter, il faut créer une société

      • Charles Oumar Diouf

        Merci

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