Pour une majeur partie de la presse, Benoît Sambou a failli remettre le débat sur la nationalité des candidats à l’élection présidentielle au devant de la scène.
Le leader du pôle de la majorité a glissé, indique le tabloïd « Le Quotidien », une proposition qui corse les conditions de participation qui voudrait que le candidat renonce à ses nationalités cinq ans au moins avant le jour du scrutin.Une prise de position qui a mis les alliés de l’Apr, l’opposition et les non alignés dans tous leurs états, constate la même source.
En effet, il s’agirait pour Benoît Sambou d’ajouter un point à l’article Lo 114 du Code électoral pour corser les conditions d’application de l’article 28 de la Constitution qui disposait: « Tout candidat à la présidence de la République doit être exclusivement de nationalité sénégalaise, jouir de ses droits civils et politiques, être âgé de 35 au moins le jours du scrutin. Il doit savoir écrire, lire et parler couramment la langue officielle. » Mais Benoît Sambou voulait y ajouter indique « Le Quotidien », une autre pièce ainsi libellée: « Tout candidat détenteur d’autres nationalités doit avoir renoncé à celles-ci depuis au moins cinq ans avant le jour du scrutin et en fournir la preuve. » Ce qui avait manifesté l’étonnement dans l’arène politique. Certains étaient même allé jusqu’à traité cette proposition de monsieur Sambou de ridicule. C’est le cas dans le camps des alliées de l’Apr.
Ndeyssane! Mais est ce que wa apr sélbé douléne digal sarakhou khorom? Vraiment c’est triste
Khana ki mome c’est le chat qui dort
Il pense a KARIM c dommage geum leen yalla. .tot ou tard le lion ki dort va litter le pouvoir. ..
Ndeyssane dafa amoul bene khorome Benoit
benoit sambou n.est pas intelg.ya k le president sall ki peut faire de lui un ministre.c’est triste pour ce pays .