Mor Talla Gueye, plus connu sous le nom de Nitdof, a livré son analyse sur les défis économiques actuels du Sénégal. Dans une publication sur les réseaux sociaux, le rappeur et président du Fonds de Développement des Cultures Urbaines (FDCU) a identifié la dette héritée de l’ancien régime et l’influence du Fonds Monétaire International (FMI) comme les principaux freins au développement du pays.
Selon les propos rapportés par la plateforme Kawtef, l’artiste estime que le blocage économique ne provient pas de la gestion actuelle. Pour illustrer une volonté d’assainissement, il mentionne le limogeage récent d’un directeur connu pour ses « mauvaises pratiques ». L’obstacle majeur, selon lui, est ailleurs : « La seule chose qui empêche le Sénégal de décoller aujourd’hui, c’est cette dette et le FMI qui s’y accroche pour freiner les ambitions souverainistes du pays », a-t-il déclaré.
Nitdof s’en prend également à ceux qui critiquent le nouveau gouvernement. Il vise les personnes qui, selon ses termes, « pendant 12 ans, ont bénéficié de cette même dette » et qui jugent avec précipitation les nouvelles autorités. « Quel culot ! Quelle indignité, et quel esprit tordu et maléfique », a-t-il écrit, les accusant de manipuler l’opinion publique. Il ajoute : « Ils savent pourtant que ce blocage est passager, que ce passage difficile est obligatoire. »
Malgré ce contexte, Mor Talla Gueye met en avant les actions du pouvoir en place. Il soutient que le gouvernement « parvient à stabiliser les prix des denrées, à payer les salaires à temps ». Il affirme également que l’exécutif, malgré une « situation délicate », refuse les propositions de restructuration de la dette pour « protéger le citoyen sénégalais ». Les relations entre le FMI et le Sénégal restent un sujet central dans le débat économique national.

Dof bi
Le grand patriote
Est-ce que les Sénégalais ont besoin de l’ avis d’un « dof »? Je ne le crois pas!
PAR LA FAUTE DE MACKY SALL ET SON ASSOCIATION DE MALFAITEURS
Tu as trahi l’esprit du hip-hop
Tu ne maitrises rien de ce que tu racontes espèce de gros suiviste