Le débat sur l’éligibilité d’Ousmane Sonko a refait surface depuis le Téra-meeting de samedi. Invité ce lundi sur le plateau de la TFM, comme chaque début de semaine, le chroniqueur et journaliste judiciaire Daouda Mine a clarifié plusieurs points juridiques qui, selon lui, ne laissent aucun doute : “Je fais partie de ceux qui pensent qu’Ousmane Sonko a toujours son éligibilité depuis la loi d’amnistie.”
Revenant en détail sur l’affaire qui alimente les spéculations, Daouda Mine a rappelé le parcours judiciaire du dossier de diffamation opposant Ousmane Sonko à Mame Mbaye Niang.
Selon lui, le leader de Pastef avait d’abord été condamné en première instance, puis la décision avait été confirmée et alourdie en appel :
- Confirmation de la condamnation ;
- Maintien des 200 millions de FCFA de dommages ;
- Ajout d’une contrainte par corps.
Une mesure finalement levée par la Cour suprême, qui a toutefois confirmé la peine de six mois avec sursis ainsi que les dommages et intérêts.
Mais l’essentiel, selon Daouda Mine, réside dans la nature même de l’infraction : la diffamation est considérée comme une infraction politique. La Cour suprême s’est d’ailleurs appuyée sur une jurisprudence clé : l’affaire Mimran contre Sud FM, qui établit clairement ce principe.
C’est cette qualification politique qui place l’affaire Sonko–Mame Mbaye dans le champ de la loi d’amnistie, explique-t-il.
“C’est pour cette raison qu’Ousmane Sonko a pu participer aux élections passées”, précise-t-il.
Quant au rabat d’arrêt, Daouda Mine rappelle qu’il ne portait pas sur le fond, mais uniquement sur la recherche d’éventuelles erreurs de procédure.
Avec cette analyse, le journaliste judiciaire vient ainsi apporter un éclairage supplémentaire dans un débat qui continue d’alimenter les discussions politiques et médiatiques au Sénégal.

Sonko figure bel et bien sur les listes électorales et a voté lors des dernières élections. Point barre.
Le reste n’est que vaine tentative de manipulation.
La loi d’amnestie ne peut en aucun cas permettre à une tierce personne poursuivi pour une infraction de diffamation d’en bénéficier. Et mieux encore de se demander : Comment et quand est-ce que la diffamation est-elle considérée comme une infraction politique ?
Si à la base on le sait tous que la diffamation est une affaire civile et pénale selon des pays.
Daouda tu ment DOMOUKHARAM Ousmane sonko meunoul bok election 2029 boudè place NGA beug Doki ame
Daouda dit nous qui vous êtes et arrête de défendre l’indéfendable
Les kulunas et les haineux anti sonko , leur reve c est de voir sonko out pour 2029 , ils vont dechanter car sonko est eligible , comment quelqu un qui a vote en 2024 lors de la presidentielle et les legislatives peut etre ineligible ? mame mbaye niang et les autres kulunas khamougnou dara , bla bla rek ..
La vérité rien que la vérité ya pas deux deux vérité désolé pour sonko nul n’es ai desus de la loi
Felicitazions M. Mime. Il reste effectivement eligible en depit du rejet du rabat d’arrêt. Cela tous les specialistes honnetes du droit l’ont deja affirmé.
Je me demande loutakh ngèn di sonnal sèn bopp ci débat bii. Ak lou meuneu khéw, Ousmane Sonko mo yorr asseblée nationale, amoul louko meuneu empêcher mou nékk candidat. Démlèn sétti lénèn waay
Le problème ce pas l’ensemble le cour suprême et au dessus de toute les solutions ak le rabat d’arrêt legui li dess moy djemeu lagamou thi Amnesty bi