Ngoné Saliou Diop partage son expérience spirituelle à La Mecque
La célèbre journaliste Ngoné Saliou Diop a récemment effectué son premier petit pèlerinage à La Mecque, communément appelé Omra. Remplie d’émotion, elle a partagé cette étape marquante de sa vie sur les réseaux sociaux, illustrant son récit par de superbes photographies prises sur place.
Sur sa page Facebook, Ngoné Saliou Diop a exprimé sa gratitude et son recueillement avec ses abonnés. « J’ai fait ma première Omra, mon premier petit pèlerinage à la Mecque. Si aujourd’hui nous sommes ici, c’est par la grâce d’Allah. C’est un honneur, une faveur, un cadeau inestimable. Que jamais nous n’oublions cette bénédiction. » a-t-elle déclaré.
Elle a décrit La Mecque comme un lieu de rêve qu’elle désirait ardemment visiter, soulignant que ce n’est pas par la richesse ou la force physique que l’on accède à cette expérience, mais par un appel divin, « L’Appel d’Allah ». Cette révélation spirituelle témoigne de sa profonde conviction religieuse et de son expérience personnelle intense lors de ce voyage sacré.
Pour plus de détails, cette information a été lue sur Kawtef, une source de référence pour suivre l’actualité des personnalités sénégalaises.
J’ espère que la Kaaba ne va pas reculer devant cette pimbêche
si tu reviens de la mecque il faut arreter de mentir et de denigrer les gens pour faire plaisir a ton mentor vomi de tous ousmane sonko sinon tes prieres ne seront jamais exhausser
Par sa nature, la femme est dans un état de démoralisation constante, toujours en deçà ou au delà de la justice. L’inégalité est propre à son âme. La domesticité lui est moins antipathique. A moins qu’elle ne soit corrompue ou émancipée, loin de la fuir, elle la recherche, et remarquez encore qu’à l’encontre de l’homme, elle n’en est point avilie. Ce que la femme aime par-dessus tout et adore, ce sont les distinctions, les préférences, les privilèges. Qu’est-ce que la justice pour un cœur de femme ? De la métaphysique, de la mathématique. La femme veut des exceptions, elle a raison : elle est infirme et les exceptions sont pour les infirmes. De même que les idées et la justice, c’est encore par l’homme que la pudeur vient à la femme. La pudeur est une vertu civile… d’elle-même, la femme est impudique. Si elle rougit, c’est par crainte de l’homme.