Multiplication des licenciements au Sénégal : un avenir incertain pour les travailleurs

La crise sociale touche de plus en plus le Sénégal, avec des vagues de licenciements qui frappent plusieurs entreprises et agences, affectant fortement le tissu économique et social. Comme le rapporte le site de Sud Quotidien, le Grand Théâtre national, le Port autonome de Dakar et le ministère de l’Énergie sont parmi les entités qui réduisent leur personnel, invoquant divers motifs allant des problèmes économiques à des restructurations internes.
La situation économique déjà tendue du pays se complique encore davantage avec cette perte massive d’emplois, comme le relèvent nos confrères. En effet, le coût de la vie ne cesse d’augmenter, tandis que les perspectives d’avenir pour les travailleurs se dégradent. D’après une note du Grand Théâtre national Doudou Ndiaye Coumba Rose, des problèmes économiques sérieux et des dysfonctionnements organisationnels justifient ces décisions de licenciement. La tentative de négociation pour des départs volontaires n’ayant pas abouti, les licenciements ont été actés.
Au Commissariat à la Sécurité alimentaire et à la Résilience, dix licenciements, incluant des contrats à durée indéterminée, ont été confirmés. Au Port autonome de Dakar, fin 2022, une vague massive a laissé 781 personnes sans emploi, qualifiée de « drame social » par Abdoul Ndiaye, représentant des agents du PAD.
Au ministère de l’Énergie, 44 licenciements ont eu lieu en octobre, dus principalement à des décisions financières antérieures. Birame Soulèye Diop, le ministre en poste, a expliqué la situation par des contrats mal gérés, financés par des fonds détournés de leur usage initial. Cet impact s’étend également à d’autres structures publiques comme la Caisse des Dépôts et Consignations et l’Agence nationale de sécurité routière.
Le secteur informel est également en crise. L’arrêt des chantiers de construction dans les régions de Dakar et Thiès plonge de nombreux ouvriers dans le chômage. Ces derniers, des artisans du bâtiment, peinent à subvenir aux besoins de leurs foyers en l’absence de revenus stables.
La suspension de ces activités économiques essentielles a des répercussions sur le commerce local, incluant les vendeurs de matériaux de construction et les transporteurs. Les promoteurs immobiliers s’inquiètent aussi des pertes économiques qui pourraient étouffer tout un pan vital de l’économie sénégalaise. Comme rapporté par Sud Quotidien, la continuité de cette situation pourrait ralentir considérablement le secteur du bâtiment, généralement considéré comme un baromètre de la santé économique nationale.
On licencie des personnes sans aucune experience professionnelle qui ne peuvent rien apporter à l’entreprise surtout la clientèle politique bien orchestrée par Macky Sall et so mauvais et moribond régime. .Au niveau de la poste Farba a envoyé et faire recruter que des cireurs de chaussures , des vendeurs ambulants, des planteurs qui n’avaient aucune connaissance du job par lequel ces personnes ont été choisies. Ces ragailles n’avaent aucun apport positif des structures auxquelles ils ont été affectés que de la surcharge budgétaire comme l’atteste le rapport de la cour des comptes. Le journaliste qui écrit doit avoir le maximum d’informations au lieu de rester de surface pour faire de la désinformation car les sénégalais sont aux aguets.
Voilà le résultat lorsqu’on suit aveuglément une bande d’incapables. Beaucoup ont voté pour un piètre type qui n’a qu’une ligne sur son CV sur ordre d’un vaurien populiste sans consistance intellectuelle ni compétence. Maintenant il faut souffrir en silence et accepter de galérer jusqu’en 2029. Mougne rek, surtout que vous n’avez encore rien vu, ce n’est que le début.
C’est vrai, parmi les candidats à l’élection présidentielle, les sénégalais ont choisi le profil le plus faible, le plus fragile, le plus inexpérimenté, le plus médiocre, le plus nul en somme. Il ne faut donc pas s’attendre à des miracles.