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Mort subite de Benoît Duteurtre : un écrivain passionné et critique musical s'éteint à 64 ans

L’écrivain et journaliste Benoît Duteurtre, auteur de plus de quarante ouvrages, est décédé le 16 juillet d’une crise cardiaque survenue dans sa maison des Vosges. Il avait 64 ans.

Arrière-petit-fils du président René Coty, Duteurtre avait une passion quotidienne pour la littérature et la musique. Son frère cadet, Jean-Baptiste Duteurtre, a confié à l’AFP que la famille est abasourdie par cette mort si brutale.

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Critique musical et journaliste, Benoît Duteurtre animait depuis vingt-cinq ans l’émission « Étonnez-moi Benoît » sur France Musique. La présidente de Radio France, Sibyle Veil, a salué sur X un auteur de talent, empreint de nostalgie et d’humour.

L’hebdomadaire Marianne a rendu hommage à son chroniqueur de longue date, présent dans leurs pages dès l’origine. Stéphane Bern, le retrouvait chaque année à Vienne pour le bal du Nouvel An, décrivant Duteurtre comme un merveilleux romancier et critique musical.

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Benoît Duteurtre, essayiste et romancier, a signé des ouvrages tels que « Tout doit disparaître » (1992), « Drôle de temps » (1997), et « Le Voyage en France » (2001), récompensé par le prix Médicis. Il est également l’auteur de « Le Grand Rafraîchissement », publié au début de l’année.

Son livre « Dénoncez-vous les uns les autres » (Fayard, 2022) critiquait sévèrement le wokisme, la société du principe de précaution et la cancel culture. Son frère a indiqué qu’il travaillait sur un nouveau roman.

En 2017, il avait reçu le grand prix de littérature Henri Gal de l’Académie française pour l’ensemble de son œuvre et avait été nommé commandeur des arts et des lettres en 2021. L’Académie française, cependant, l’avait recalé à deux reprises, en 2019 et 2022. Selon son frère, Benoît Duteurtre s’interrogeait sur l’opportunité de postuler de nouveau.

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Un commentaire

  1. Yeah man

    Ce Monsieur était pro-vax.


    Le docteur Redfileds, ancien directeur du CDC des USA vient de reconnaître devant le Sénat des USA que les ARNm sont toxiques, se répandent dans le corps entier, que cela était connu des scientifiques, qu’ils causent des effets indésirables qui ont été cachés pour ne pas décourager les gens de se faire vacciner.


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