Me Juan Branco : « De ce que j’en sais… », Alioune Tine
L’affaire Branco suscite toujours passion et analyse. Alioune Tine, fondateur du think tank Afrika Jom Center, égratigné par ailleurs, dit de ce qu’il sait du tonitruant avocat franco-espagnol, inculpé lundi dernier au Sénégal pour des fait délictuels et criminels, et expulsé vers son pays, la France.
« Je ne cautionne rien, je pars de ses écrits, discours et de sa pratique politique populiste que j’ai regarde et que je suis loin de partager. Comment il fonctionne et pourquoi ça marche chez certains. Maman psychanalyste, papa producteur de cinéma d’art et d’essai, habite au 6eme arrondissement comme Picasso et se dit andalou comme Picasso.
« Pas un immigré portugais-espagnol comme les autres. Se bat contre Macron, Bouygues et les Bernard Arnaud. Se bat avec les gilets jaunes, défend Assange et Ousmane Sonko, est proche de Kemi Seba et Nathalie Yamb. Tout ça me dit quelque chose de notre époque et d’une certaine génération ».
Tine un vrai rebelle senegalais
Voilà le clan des salopards.
Tellement faciles et dégradant les injures et la vindicte, ressaisez-vous
AT, waxu fi dara. Wax danga koy gnémé mba nga noppi. JB est un enfant gâté, un anarchiste, un type frustré par la promotion de ses copains de classe comme l’actuel ministre français de l’éducation. AT a oublié de dire, que les « amis » de JB (Yamb et Seba) sont très proches de Poutine et Prigojine, eux très proches de Marine Le Pen. Il a été candidat de la « France insomise » dans une élection. Il n’a jamais défendu Assange, il a voulu être son avocat, c’est tout. Assange n’a pas voulu de lui. Comment avec tous ces links, JB peut-il être de un type fiable. A son âge, il continue de se chercher. Je crois que chez AT, il y a une maladie nommée neurodégénérative qui a débuté depuis mars 2021 et qui l’empêche de bien réfléchir.