« Je rend grâce à Dieu de pouvoir partager le peu que je gagne de mes activités avec certains de mes compatriotes pour les appuyer. Très modestement, je suis fier de pouvoir le faire. Et mes origines d’enfant pauvre me prédisposent à être ancré dans la trame de le solidarité sociale. J’ai été élevé dans cette dynamique par ma chère grand mère et c’est toujours avec joie que je partage. C’est l’éducation de banlieusard que je porte fièrement en bandoulière », a rappelé Malick Gackou dans les colonnes du quotidien l’Observateur.