Pour combattre cette pratique, les députés Djibril War et Cheikh Seck (Bby) annoncent des propositions de loi. Selon le premier, il «s’agira de faire une loi qui prive les transhumants de fonction élective ou nominative pendant deux ans». Le second propose la construction d’un «monument de la honte au-dessus duquel les noms des transhumants seront inscrits en guise d’enseignement aux générations futures».