Les différents acteurs du secteur des transports se sont retrouvés, vendredi dernier, pour évaluer leurs partenariats concernant la rénovation des véhicules de transport interurbain. Une occasion pour eux de se pencher, entre autres, sur les accidents de la circulation qui ont abrégé de nombreuses vie humaines, ces cinq dernières années.
Et parmi les solutions à ce fléau des temps modernes, figure l’instauration du permis à points. Pour le permis à points, Mbaye Amar, représentant du président de l’Aftu, est d’avis que son application relève d’une urgence. Pour lui, l’indiscipline dont font preuve certains chauffeurs, ternit l’image de l’Aftu, sans compter que les transporteurs ne représentent que 20% des gens qui ont un permis.
La société Senbus industries espère d’ici 2018, remplacer tous les Ndiaga Ndiaye et les Cars rapides.
Le directeur général du Conseil exécutif des transports urbains de Dakar (Cetud), Alioune Thiam, pense pour sa part, qu’il est inadmissible qu’un véhicule de plus de 15 ans continue à faire du transport. Ce véhicule doit être remisé et renouvelé.
c vrai mb
merci mb tu as tout dit
avant les permis point jl faut faire des bon route et les chemin de fer de bien faire des signalisation et bien former les hommes de tenu dan le respect des citoyens
les permis a points, sa ne sert rien. les hommes de tenus ne font jamais leur role a cause de 100frs ou 200frs, ils faut regler dabort le probleme Sur nos homme de tenus c’est vraiment honteuse
pour éliminer les car rapide et les ndiaga ndiaye il faut diminuer vos tickets et former les chauffeurs des bus