Bonjour et bienvenue dans la matinale de Senego de ce lundi 20 mai 2024. Voici les articles les plus débattus pendant cette nuit :
A peine quelques semaines après l’arrivée du nouveau régime, des voix s’élèvent pour tout et n’importe quoi. En analysant les discours plus en détail, on constate souvent des critiques et jugements émis sans aucune intention constructive par une certaine presse ou des individus en quête de notoriété.
Certaines critiques cherchent à se propulser sur le devant de la scène grâce à la réaction du camp adverse. Partager ou commenter même de manière négative leur permet d’atteindre leurs objectifs.
Les critiques, par leur impertinence, utilisent souvent des jugements extrêmement agressifs, non constructifs et souvent infondés, parfois basés sur le mensonge et la manipulation. Mieux vaut les ignorer pour ne pas leur offrir de visibilité.
Les autorités doivent se concentrer sur les actions en restant une force de proposition et d’alerte. Les nouvelles autorités dérangent et des moyens colossaux seront mobilisés pour les déstabiliser. Elles pourront tenir avec l’aide des sénégalais patriotes.
Ngagne FALL, Docteur en Sciences de l’information et de la communication, enseignant chercheur à l’Université Grenoble Alpes et chercheur au Gresec, nous livre une analyse sur ce sujet.
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Dans une réplique cinglante, Babacar Sarr Beugue Bamba, Chargé de communication de PASTEF TOUBA, répond à Mame Mactar Guèye après ses critiques à l’encontre du leader de Pastef, Ousmane Sonko, sur la question de l’homosexualité au Sénégal. Accusant Mame Mactar Guèye de réagir avec précipitation et de compromettre sa crédibilité, Babacar Sarr Beugue Bamba souligne l’importance de comprendre le discours dans son ensemble.