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Ibrahima Khalil Ndiaye (Synpics): "Aujourd’hui, n’importe qui peut se réveiller et prétendre devenir un journaliste"

Le secrétaire général du Syndicat nationale des professionnels de l’information et de la communication sociale invite à repenser la presse sénégalaise dans son mode de fonctionnement et dans son tout. Pour Ibrahima Khalilou Ndiaye, la presse avant de régler les problèmes des autres doit d’abord régler ses propres problèmes.

«On doit certes parler des maux qui gangrènent la société car c’est ce que l’on attend de nous. Mais la charité bien ordonnée, commence par soi. Aujourd’hui, n’importe qui peut se réveiller et prétendre devenir un journaliste, les organes de presse naissent comme des champignons. Et certains servent juste à régler des comptes personnels. Aujourd’hui chacun dit ou écrit ce que bon lui semble et quand il le veut. Ce n’est pas normal, il faut revoir les choses», a-t-il fait remarquer.

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Le responsable syndical n’a pas également les patrons de presse qui emploient des journalistes dans des condition qui ne leur garantissent pas la liberté d’exercice de leur métier ou encore ne les protègent pas dans xet exercice. «Il faut se valoriser et refuser l’exploitation, les manipulations venant des patrons de presse ou de quiconque. Nous devons connaitre nos droits. Parce que le journalisme fait partie des métiers les plus risqués et qui demandent de la protection de la part de ceux qui nous emploient» rappelle-t-il.

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6 commentaires

  1. pisco88

    Mais c'est le metier de journaliste qui est ainsi.Un journaliste disait que mème le maçon peut devenir journaliste moi mêm je m'apprète á devenir journaliste sènègal thia kanam


  2. mams

    Dans tous les cas toi on t appelé déjà journaliste avant que tu ne le soit et en plus tu as fait tout ce qu il fallait pour l être avec brio tout ce que tu dis là est pour le bon fonctionnement de la maison(xibar) bonne continuation ton grand.


  3. kupukala

    Il faut durcir les examens et les contrôles. Les nombreuses fautes à répétition de toutes sortes donnent une idée du niveau de ces "journalistes".


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