Dans une déclaration percutante, le député Guy Marius Sagna salue la rupture amorcée par le président Diomaye Faye et le Premier ministre Ousmane Sonko face à l’impunité dans les forces de défense et de sécurité.
Il dénonce un héritage colonial violent et appelle à un engagement collectif contre un système néocolonial qu’il juge toujours actif.
Texte in extenso :
Ils nous assassinaient puis disaient « mort naturelle ». Diomaye et Sonko montrent la rupture. Bravo !
Ils assassinaient nos pères et nos enfants.
Ils faisaient pression ensuite sur nos familles pour enterrer sans autopsie avec quelques miettes de francs cfa. Quand le procureur parlait c’etait pour dire le contraire de la vérité.
Nous, nous sommes auprès des familles des victimes. Ni jeter en pâture les agents des forces de défense et de sécurité ni taire, cacher et couvrir les actes inacceptables de certains d’entre eux. Bonne continuation au président de la république, au premier ministre et au gouvernement.
Nous avons hérité de forces de défense et de sécurité coloniales dont certains agents avaient un permis d’insulter, une prime à la torture, un permis d’assassiner. . .
Dans cette police, dans cette gendarmerie, dans ces eaux et forêts…certains servent totalement les citoyens mais d’autres pensent que le citoyen est un tam-tam bon que pour être tapé.
Diomaye, Sonko et leur gouvernement ont un rôle important et il faut saluer leur posture devant les cas de Rosso et de Cambéréne.
Diomaye, Sonko et leur gouvernement seuls ne peuvent pas régler ce problème structurel d’agents des forces de défense et de sécurité violents avec les citoyens.
Dans chaque poste de police, brigade de gendarmerie…luttent des agents qui veulent traiter les citoyens autrement et d’autres – le système – qui continuent de traiter les citoyens violemment. Rupture contre continuité s’affrontent à la police, à la gendarmerie comme dans tous les autres services de l’État, dans toutes les institutions, dans chaque village et quartier.
Chacun doit choisir son camp. Les citoyens tout en continuant d’accorder leur respect aux forces de défense et de sécurité doivent refuser et doivent dénoncer les actes de violence. Les agents des forces de défense et de sécurité sont invités et encouragés à choisir le camp du peuple et non celui de l’oppression du peuple. Le camp du peuple étant celui du respect des droits des citoyens.
N’ayons pas honte, ne soyons pas gênés face aux actes du système car lui le système n’aura pas de scrupule. Une seule posture face au système : le combattre de manière intransigeante.
Et n’oublions pas. Nous ne sommes pas là pour être les nouveaux visages – les nouveaux boss – d’un système néocolonial et parasitaire. Nous sommes là pour faire disparaître le système néocolonial et parasitaire.
GMS,
Guy on a pas ton temps,on s’occupe du Client.
Nous on suit Badara gadiaga
En même temps c’est un déséquilibré obsédé par le nationalisme qui est même allé visiter, déguisé en Carnaval, l’ambassadeur de la dictature burkinabé ! Il disparaîtra comme il est apparu !
L’honorable GUY ne comprends rien dans cette affaire ; les dérapages ou violences injustes commis par des forces de défense et de sécurité sont ds ts les pays du monde , il y’a ts les groupes des méchants,des bons,des moins intelligents
Guy le fou. Dans un pays sérieux tu ne dois pas ouvrir ta gueule de bouche. Imbecile.
Bravo GMS ON EST PAS ÉTONNE QUAND ON ENTEND PARLER LES GENS DU SYSTÈME!! Le peuple est avec vous dans ce combat et ensemble nous vaincrons in chaa allah
Le porc de Bissau lorsqu’il l’ouvre du coq à l’âne à satiété
Toi ,il fallait mieux nous parler de ton bosse et vos dérives,ici tu n’es plus légitime pour prendre la parole
Le porc de Bissao engrosseur de minettes qui donne des leçons le Sénégal marche vraiment par la tête
Thiey yalla Senegal Khana dagno togn waliou
QUAND EST-CE QU’IL VA LA FERMER SA SALE GUEULE ???