La France durcit sa position envers certains dignitaires algériens, rendant leurs déplacements sur le territoire français plus difficiles. Cette décision, confirmée mercredi par la porte-parole du gouvernement français, Sophie Primas, fait suite au refus des autorités algériennes de reprendre 120 personnes sous obligation de quitter le territoire français (OQTF).
Contexte de tensions diplomatiques
Les relations entre la France et l’Algérie sont marquées par des tensions récurrentes. L’été 2024 a vu une dégradation significative de ces relations suite à la reconnaissance par Paris de la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental. L’Algérie a alors rappelé son ambassadeur à Paris et le président Tebboune a annulé une visite prévue en France. Des incidents diplomatiques similaires ont déjà eu lieu par le passé.
Un bras de fer sur la question migratoire
Les deux pays sont également en désaccord sur la politique migratoire. La France tente d’expulser des ressortissants algériens en situation irrégulière, mais se heurte à l’opposition d’Alger. Le président algérien Abdelmajid Tebboune a critiqué des « déclarations hostiles » de politiques français, jugeant le dialogue avec le président Macron comme une « perte de temps ».
Des relations au point mort
Malgré des espoirs de dépasser le contentieux mémoriel, le dialogue politique entre les deux pays semble interrompu, hormis les relations commerciales. Le président Tebboune a déploré cette situation, soulignant l’absence de progrès dans les relations bilatérales.
Guerre !
Battez-vous !
Que le sang coule à flot.
Deux pays souteneurs du terrorisme international.