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Éliminatoires Coupe du Monde 2026 : Le Sénégal corrige le Soudan du Sud (0-5) et prend le large dans le groupe B

Les Lions du Sénégal ont réalisé une démonstration de force ce vendredi après-midi au Juba National Stadium, en s’imposant largement 5 à 0 face au Soudan du Sud, lors de l’avant-dernière journée des éliminatoires du Mondial 2026.

Dans un match maîtrisé de bout en bout, les hommes de Pape Thiaw n’ont laissé aucune chance à leurs adversaires. Ismaïla Sarr, intenable sur son aile, a signé un doublé éclatant, avant que Nicolas Jackson ne transforme un penalty pour corser l’addition. En fin de partie, Chérif Ndiaye est venu sceller le sort de la rencontre d’un cinquième but plein de sang-froid.

Grâce à ce large succès, le Sénégal conforte sa place de leader du groupe B et se rapproche un peu plus de la qualification pour la Coupe du Monde 2026.

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Un commentaire

  1. Quand le patriotisme devient théâtre


    Par Mandoumbe Thiam


    La victoire des Lions du Sénégal n’est pas seulement un triomphe sportif ; elle est une métaphore du patriotisme véritable. Dans la cohésion, la discipline et l’effort collectif de ces hommes se lit une vérité profonde : aimer son pays, c’est agir en silence, servir avec humilité et s’effacer derrière l’idéal commun.


    Le patriotisme n’est pas un cri, c’est une conscience. Il n’a pas besoin de micros ni de caméras pour exister, car sa grandeur réside dans la sincérité du geste et la pureté de l’intention.

    Il est l’opposé du bruit : il est acte, pas agitation ; vertu, pas vanité.


    Pourtant, notre époque voit émerger une forme dégradée du patriotisme : celle du spectacle. Certains, à l’image de Dame Mbodj, confondent engagement et exhibition, conviction et provocation. Leur discours, souvent tonitruant, cache mal une absence de projet réel. Ils prétendent défendre la nation mais finissent par la fragmenter.

    Leur patriotisme est un miroir tendu à eux-mêmes, non une lumière offerte au peuple.


    Le philosophe Alain disait : « Le vrai courage, c’est de se taire quand il faut écouter. »

    De même, le vrai patriote ne s’impose pas par le vacarme, mais par la constance de ses actes et la justesse de ses idées.

    Aimer le Sénégal, ce n’est pas crier son nom pour exister, c’est se mettre à son service pour le faire grandir.


    Les Lions nous rappellent que la nation se construit dans la sueur du terrain, dans la solidarité et dans l’effort collectif — pas dans le tumulte des plateaux.

    Le patriotisme, le vrai, ne se joue pas sur la scène du bruit, mais dans le silence du devoir accompli.


    Quand le patriotisme devient théâtre


    Par Mandoumbe Thiam


    La victoire des Lions du Sénégal n’est pas seulement un triomphe sportif ; elle est une métaphore du patriotisme véritable. Dans la cohésion, la discipline et l’effort collectif de ces hommes se lit une vérité profonde : aimer son pays, c’est agir en silence, servir avec humilité et s’effacer derrière l’idéal commun.


    Le patriotisme n’est pas un cri, c’est une conscience. Il n’a pas besoin de micros ni de caméras pour exister, car sa grandeur réside dans la sincérité du geste et la pureté de l’intention.

    Il est l’opposé du bruit : il est acte, pas agitation ; vertu, pas vanité.


    Pourtant, notre époque voit émerger une forme dégradée du patriotisme : celle du spectacle. Certains, à l’image de Dame Mbodj, confondent engagement et exhibition, conviction et provocation. Leur discours, souvent tonitruant, cache mal une absence de projet réel. Ils prétendent défendre la nation mais finissent par la fragmenter.

    Leur patriotisme est un miroir tendu à eux-mêmes, non une lumière offerte au peuple.


    Le philosophe Alain disait : « Le vrai courage, c’est de se taire quand il faut écouter. »

    De même, le vrai patriote ne s’impose pas par le vacarme, mais par la constance de ses actes et la justesse de ses idées.

    Aimer le Sénégal, ce n’est pas crier son nom pour exister, c’est se mettre à son service pour le faire grandir.


    Les Lions nous rappellent que la nation se construit dans la sueur du terrain, dans la solidarité et dans l’effort collectif — pas dans le tumulte des plateaux.

    Le patriotisme, le vrai, ne se joue pas sur la scène du bruit, mais dans le silence du devoir accompli.


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