Le 15 septembre 2017, JAMRA organisait la première «MARCHE DE SOLIDARITÉ AVEC LES ROHINGAS», la minorité musulmane de Birmanie, victime d’exactions sanglantes de la part des extrémistes bouddhistes, avec la complicité passive de la « dame de fer » Aung San Suu Kyi.
Aujourd’hui en disgrâce, par la… Grâce d’Allah ! JAMRA réitère ses chaleureuses félicitations à toutes ces « Sokhna » du Sénégal qui avaient bien voulu répondre à notre Appel, en bravant un soleil de plomb pour suivre le rythme frénétique de cette « doxu niaxtu » (marche de protestation) qui avait parfois des allures de marathon olympique, sur le trajet Obélisque/Rts, comme en témoigne cette VIDÉO ci-jointe !
Aujourd’hui, suite à la prise du pouvoir par l’armée birmane, ce 1er février 2021, l’avenir de nos frères en Islam, ces Rohingyas qui n’ont que le tort d’être des musulmans, est plus qu’incertain. JAMRA réitère toute sa SOLIDARITÉ à ces victimes d’épuration ethnique et de meurtres de masse.
NE SOUS-ESTIMONS surtout aucun acte de solidarité pour DÉNONCER aux yeux du monde cette insupportable injustice. La Marche de Soutien des Musulmans Senegalais, ce 17 septembre 2017, semble n’avoir pas été vaine. La « Résolution finale », lue devant la Presse nationale et étrangère, notamment France24, la Presse marocaine et chinoise, peut prétendre modestement avoir contribué à élargir le champ d’indignation à travers le monde.
LE PRÉSIDENT de la République du Sénégal, Macky Sall, semble avoir été sur la même longueur d’onde, lors de son discours délivré, trois jours après, à la 72 ème Assemblée générale des Nations-Unies, le 20 septembre 2017, en appelant «instamment la communauté internationale à agir pour mettre fin à cette véritable tragédie humaine».
Et lors de sa déclaration conjointe avec son homologue turc, Recep Tayyip Erdogan, exhortant la Oummah islamique et la communauté internationale à « mettre fin à la grave situation que vit la minorité musulmane des Rohingyas ».
La combat continue!
(JAMRA)
il nous faut aller plus loin que ça unir tous les musulmans sous une éthique plus large plus divine loin des considérations sectaires