Fara Sakho est revenu sur les problèmes auxquels la jeunesse est aujourd’hui confrontée après les études, notamment l’inadéquation entre la formation reçue et les besoins du marché de l’emploi. Le vice-président de BEM Africa a souligné que le secteur technologique connaît une croissance rapide et des mutations profondes sur le continent africain. Il a rappelé que les enjeux liés à la cybersécurité, à la science des données et à la biotechnologie sont désormais au cœur des stratégies des entreprises.
M. Sakho a expliqué : « Le secteur de la technologie est en pleine mutation en Afrique. C’est la raison pour laquelle, il y a cinq ans, nous avons décidé de créer cette école technologique, afin de répondre aux problématiques liées à ces transformations. La cybersécurité, la science des données et la biotechnologie sont aujourd’hui au centre des priorités des entreprises. »
Il a ajouté que BEM TECH souhaite former des étudiants capables de répondre à ces enjeux sur le continent africain, et de former des futurs leaders africains qui sauront faire face aux défis des entreprises mondiales, en Afrique comme à l’échelle internationale.
Ces propos ont été tenus lors de la signature d’un partenariat entre BEM TECH et Seneca Polytechnic, une institution canadienne, visant à offrir des Bachelors anglophones dans trois domaines d’avenir : la biotechnologie, la science des données et la cybersécurité.
