Réagissant à la sortie très commentée du Premier ministre Ousmane Sonko, l’analyste politique Demba Gueye n’a pas caché son inquiétude quant aux conséquences d’un tel déballage sur la scène publique.
« Nous sommes à quelques secondes d’une crise institutionnelle majeure. Il y a une rupture de la base au sommet de l’État, et cela aura forcément un impact négatif sur le pays », alerte-t-il sur rfm.
Pour Demba Gueye, le Sénégal traverse déjà une situation économique précaire : « Le pays est fragile, il peine à convaincre ses bailleurs. Rajouter à cela une crise politique ouverte, c’est affaiblir davantage une nation qui tente de se relever. »
Il déplore surtout que cette sortie du chef du gouvernement se fasse sur la place publique : « Le Premier ministre, en tant que garant d’une certaine stabilité, devrait faire preuve de retenue. Les tensions internes au parti peuvent se régler en interne. On ne règle pas ce genre de choses à ciel ouvert. »
Demba Gueye estime que cette prise de parole a ravivé de vieux réflexes : « En l’écoutant, j’ai eu le sentiment que l’opposant est revenu. Les ‘lives’ ont ressurgi, les attaques aussi. Or, aujourd’hui, il incarne l’autorité de l’État. »
L’analyste relève enfin une phrase particulièrement troublante : « Lorsqu’il dit : “Nous sommes arrivés au pouvoir dans la violence”, cela laisse songeur. Quelle lecture en tirer ? Quel message envoie-t-il aux partenaires étrangers ? »
Avant de conclure, Demba Gueye lance un avertissement : « Il faut éviter de faire vaciller une institution pour des considérations partisanes. Le pays en paierait le prix. »
MOSS DEM REKK.
Yallanako yalla tagalai ak wa Sénégal, doyalenagnou seukk, SARRAB LI.
Sa bou guainai rekk wakh ayy bêtise, matoule kilifeu malheureusement.
Khailmi dafa diogoule si thiorombi ADJI Sarr balaigui, Khalebi dafko traumatisé.
Sonko dafa rekk con,
Monsieur Demba Gueye, votre sortie est non seulement déconnectée, elle est carrément insultante pour l’intelligence des Sénégalais. Vous venez nous donner des leçons de « retenue » et de « stabilité » alors que le régime sortant a si longtemps excellé dans l’opacité, la clientélisation et la répression des voix discordantes. Parler de « problèmes internes au parti » à régler « en interne » relève d’une mentalité d’un autre âge, celle des barons de parti qui s’accaparent le pouvoir et qui, des décennies durant, ont pris les décisions dans des cercles fermés, loin du regard du peuple.
Vous pleurez sur la « fragilité économique » du pays, mais qui donc a mis le Sénégal à genoux, si ce n’est les décennies de mauvaise gouvernance, de corruption institutionnalisée et de népotisme qui ont vidé nos caisses et bradé nos ressources ? Votre indignation feinte face à une « crise politique ouverte » est grotesque. La vraie crise, Monsieur Gueye, ce n’est pas le débat public, c’est l’asphyxie démocratique que votre modèle politique a cherché à imposer, étouffant toute contestation, bâillonnant la presse et emprisonnant les opposants.
Ousmane Sonko, en s’exprimant publiquement, ne fait pas preuve d’une faiblesse, mais d’une transparence radicale à laquelle vous n’êtes manifestement pas habitué. C’est une marque de respect envers les millions de Sénégalais qui l’ont porté au pouvoir et qui ont le droit de savoir ce qui se passe au sein du parti qui doit incarner leurs espoirs. On ne « règle pas ce genre de choses à ciel ouvert » quand on a des squelettes dans le placard ou qu’on veut perpétuer un système où le chef est intouchable et ses décisions sont gravées dans le marbre sans discussion.
Votre posture défend l’idée qu’un leader doit se draper de mystère, gérer ses affaires en coulisses, comme si les enjeux politiques n’étaient que des ragots de salon. Mais le Sénégal a changé, Monsieur Gueye. Le peuple exige de la responsabilité, de la reddition de comptes et une démocratie vivante, pas des arcanes de partis où les jeux de pouvoir se règlent à coups de poignards dans le dos.
Ce que vous appelez « affaiblir la nation », je l’appelle assainir la vie politique. La vérité, même crue, est toujours plus forte que le mensonge et la dissimulation. Ousmane Sonko, en choisissant la voie de la clarté, ne fait qu’honorer l’engagement de son mouvement à rompre avec les vieilles pratiques. Votre réaction démontre que le système que vous avez défendu tremble face à la lumière. Et c’est tant mieux pour le Sénégal !
Kouy wakh ak say militants kay yangui ci famille
Ce con prend les citoyens pour ses militants
Bravo Sonko ! qui a barré la route a ces insulteurs faux chroniqueurs. Vive au retour du DiomaSonko !
Sans méthode clairement définie de compagnonnage il y a heurt inévitablement. Nous vivons un bicéphalisme de facto. Il faut en prendre conscience et bien le gérer Il y a deux points distincts à considérer :
– Une différence opposée de tempéraments et de caractères entre le PR et le PM d’une part; Donc ce point à concilier pour cheminer ensemble, en équilibre et harmonie;
– De l’autre, la problématique de la mise en œuvre de la politique annoncée par le pouvoir exécutif gouvernemental. Autrement dit la prise en compte effective de l’effet parti dans les orientations de la politique publique
A défaut de vision claire et d’approche pragmatique, ce genre de choc intervient.
Chacun doit se reprendre afin de travailler ensemble en symbiose avec organisation et méthode
Le client a deraille trop meme
Il a parfaitement raison: Le linge sale se lave en famille; Le bruit ne fait pas de bien. Il faut pouvoir toute chose sur soi, dompté et maitrisé
PASTEF c’est le Senegal 🤷🏽♂️, donc les problèmes de PASTEF sont les problèmes des sénégalais. Pros rek
Et le client il est qui lui pour donner des injonctions à Assane
Le client est fou
Qui est ce demba GUEYE soi disant docteur. Senegal mo nekh rek
Tu es qui pour donner des conseils à son excellence ?