Dr Abdourahmane Diouf exprime sa gratitude après sa reconduction au Gouvernement

Reconduit dans ses fonctions au sein du Gouvernement, Dr El Hadji Abdourahmane Diouf a tenu à adresser ses remerciements aux plus hautes autorités de l’État. Dans un message de réaction, il a salué la confiance renouvelée du Président de la République et du Premier ministre.

« C’est un honneur et une responsabilité que je mesure pleinement. Je resterai engagé au service de la Nation et du bien commun », a déclaré le ministre.

Par ces mots, Dr Diouf réaffirme son engagement à poursuivre sa mission au service du pays et à répondre aux attentes placées en lui.

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5 commentaires

  1. Teguezeu

    quelque soit les hommes que vous mettez vous n’allez rien foutre dans ce pays qui marche à reculons projet devenu porozé MOSS DEM REK


  2. Abdoulaye sow

    Une tres bonne idee

    J espere que le ministre en tiendra compte

    Pour les particuliers faut agir sans attendre

    Merci


  3. ndiayendiaye

    Merci abdourahmane diouf , heureusement que tu as flaire des le debut le bon coup , tu a tres tot pris tes distances en te separant de thierno alassane sall et thierno bocoum en te rapprochant de tes freres sonko et diomaye , nous te souhaitons bonne chance .


  4. You

    Bonjour M. le ministre ci-après ce que j’avais imaginé pour ce ministère (en tout cas je vous remercie pour votre travail au ministère de l’enseignement supérieur) :


    II°) Reverdir les villes et les campagnes

    L’idée est de faire des villes, des campagnes, des écoles, des universités, des églises et mosquées : des zones vertes pour améliorer la qualité de l’air, pour réduire la chaleur, pour que consommer des fruits ne soit pas un luxe.

    – Planter beaucoup d’arbres pour reverdir les villes et baisser la température :

    Quand il fait chaud et qu’il n ya pas d’arbres, la chaleur est captée par la route goudronnée et les briques des maisons. Le soir lorsque le soleil disparait, pour refroidir, les murs et les routes restituent la chaleur emmagasinée dans la journée. C’est par ce principe que dans la journée, il fait chaud dans les villes et le soir, alors que le soleil s’est couché, il fait encore chaud dans les maisons (ce qui n’est pas le cas par exemple dans le désert, la nuit il fait froid ou frais car il n’y a pas de murs ou de routes pour restituer la plus de chaleur).

    L’idée est de s’atteler à ramener à nouveau les arbres dans nos maisons, dans nos quartiers, dans nos écoles, dans nos églises et mosquées, dans nos daaras.

    Le projet doit s’étaler sur des années : 5 à 10 ans sans chambouler les villes par des constructions qui ne se terminent jamais. On doit favoriser les transports en commun (notamment le tramway : ce qui peut être une bonne chose, le modèle doit être murement réfléchi) et réduire petit à petit l’usage du véhicule personnel.

    Dans les quartiers nouveaux (Sendou par exemple), on peut instaurer de nouvelles normes d’urbanisation ou de construction qui imposent :

    – de planter au minimum deux arbres devant chaque maison de 150 m² (faire une liste des arbres à planter) par 2 si plus,

    – Encourager à avoir une cour non constructible minimale pour une superficie supérieure à 200 m² et qui sera destinée aux végétaux, à l’écoulement des eaux de puits dans la nappe, etc,

    – de ne bétonner que l’équivalent de la taille de la porte pour aller jusqu’à la chaussée et fleurir ou boiser l’espace restant (cf. figure annexe 2), ce qui permet de restaurer les nappes et de prévenir certaines inondations,

    – de longer toutes les routes par de la végétation (manguiers par exemple ou des arbres avec des petits fruits : sapotiers, guerté toubab, etc et de temps en temps un flamboyant). Cette norme peut être étendue peu à peu à toutes les villes et à tous les quartiers du Sénégal,

    – si nous sommes très ambitieux, nous pouvons couvrir certaines les routes proches des habitations (à partir des hautes arbres) de lianes (tool, fruits de la passion, raisin…le maad à l’inconvenient d’être un gros fruit qui peut faire des dégâts sur un pare-brise) pour faire en sorte de réduire la chaleur restituée par les routes.

    – Et qui dit arbre dit souvent moustiques, donc il faut à mon avis accompagner ces mesures par la vulgarisation des moustiquaires pour fenêtre et pour portes que l’on peut fabriquer au Sénégal.

    Avantages : Au-delà de réduire la chaleur, apporter de la végétation dans les villes, permet également de réduire lutter efficacement contre les maladies respiratoires, diminuer le stress, se réapproprier de la nature, favoriser le sentiment de bien-être, etc.

    Dans les écoles :

    Pour reverdir les écoles un plan ambitieux peut consister à parrainer chaque élève qui se trouve dans une zone où c’est possible d’être fait 10 arbres fruitiers et 2 papayers dont il sera en charge depuis la 6ème. Par exemple un terrain est aménagé pour chaque école public (et pourquoi pas privé) et chaque classe dispose de son espace à cultiver et chaque élève sera en charge de ses 10 arbres qu’il devra arroser et entretenir par exemple tous les 2/3 jours et durant l’hivernage il n’y aura rien à faire. Durant les vacances scolaires, ce qui ne le pourront pas peuvent désigner un ami pour prendre le relai en leur absence. Et ce sera un cours pratique qui donnera. Ces arbres grandiront avec ces enfants et à partir du collège, ils pourront commencer à récolter les fruits de ces arbres 10 premiers arbres et pourront planter 15 de plus. Et donc à partir de la terminale chaque élève pourra avoir 25 arbres qui vont lui serviront, vont participer à la reforestation et la lutte contre les changements climatiques.

    Pour clôturer le champs, on peut utiliser des clôtures végétales (citronnier, salane, garga mbossé etc).

    Ce qui suppose au préalable que dans chaque champ l’installation d’un puit avec une pompe solaire.

    L’équivalent des scouts peut être organiser pour les élèves de Dakar (au moins une fois de leur vie) qui profiteront des vacances scolaires de l’hivernage pour aller faire ce que les élèves des régions font durant l’année scolaire.

    Reverdir Dakar et les grandes villes :

    o On doit pouvoir faire de l’ancien aéroport Yoff un parc vert,

    o La lagune de Guediawaye : Racheter les maisons autour et les détruire pour planter des arbres, aider la nature à reprendre sa place, faire des parcours pour la marche, le vélo et interdiction formelle d’y entrer avec sa voiture,

    o Les champs pas loin de l’aéroport de Ndiass doivent être cultivés nawett di nord.

    o Les allées de la VDN doivent être arborisées (soumpe, nebeday, sidem, koni, cocotier, dakhar, ensuite quelques manguiers, quelques … : Elles doivent ressemblées à une foret aménagée.

    o Le long de l’autoroute qui passe par Colobane pour aller en ville, on doit pouvoir planter des cocotiers serrés.

    o Dans toutes les villes à chaque fois qu’il ya des allées, il faut planter au milieu des cocotiers, nebeday, dakhar, citronnier, orangers, etc, en gros des arbres qui ne vont pas créer des problèmes de circulation.


    Foret :

    Les fonds immobiliers en Europe investissent dans les forêts pour vendre ensuite le bois, bénéficier des plus-values carbones et des nombreux avantages qu’apportent les forêts pour le pays.

    Reverdir le Sénégal passe également par la reforestation. Des politiques de reforestation existent dans d’autres pays, nous pouvons et devons, nous en inspirer et répliquer les modèles qui peuvent marcher dans nos pays.


  5. Alima

    Merci grand, j’avais bien apprécié ton travail à l’enseignement supérieur. Bonne continuation pour ce nouveau challenge.


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