Des femmes sont battues, tuées, violées, mutilées, enfermées, harcelées selon …
Ce dimanche 25 Novembre sera la journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, elle sera célébrée partout dans le monde. ADHA se mobilise contre les violences faites aux femmes. A travers un communiqué parvenu à Senego, le président Adama Mbengue souhaite une réelle prise en charge de la question.
Les violences conjugales ont défrayé la chronique cette semaine au pays de la teranga. Alors que ce 25 novembre, une journée d’action aura lieu contre les violences faites à l’égard des femmes. ADHA liste ses maux.
« Le 17 décembre 1999, par sa résolution 54/134, l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 25 novembre Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes et a invité les gouvernements, les organisations internationales et les organisations non-gouvernementales à organiser, ce jour-là, des activités conçues pour sensibiliser l’opinion.
Dans de trop nombreux pays, les femmes et les filles sont encore considérées comme mineures, ou objets, ou esclaves et subissent des violences et autres formes de traitements cruels, inhumains et dégradants.Au Sénégal, les femmes sont victimes chaque année de violences conjugales graves, le dernier en date, Nabou Diallo et Mame Binta Ndoye, deux coépouses qui se sont battues jusqu’au sang en Chine. Les femmes meurent tous les ans sous les coups de leurs conjoints ou ex-conjoints. «
C’est pourquoi le président s’interroge: « Combien d’agressions sur nos fillettes ? Combien de brutalités subies par nos femmes sont passées sous silence ? Étouffées dans le carcan familial ou villageois, non reportées à la police ou non suivies d’action ? ».
Des changement s’imposent:
« ADHA encourage vivement l’Etat à faire preuve de plus de considération à l’égard des femmes et des filles.
ADHA recommande vivement le renforcement des capacités des organisations de la société civile dans la lutte contre les violences faites aux femmes et le lancement de campagnes de sensibilisation de grandes envergures afin d’éradiquer ce phénomène.
ADHA appelle à l’application rigoureuse des instruments de protection tels que: la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, la Convention contre la Torture et autres Peines ou Traitements Cruels, Inhumains ou Dégradants et la Convention sur élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des Femmes.«
A noter que: « les violences faites aux femmes et aux filles ne sont pas que conjugales. Elles commencent souvent à l’école, se poursuivent dans la famille, dans le monde du travail, dans la rue, les transports en commun …
Qu’elles soient physiques ou psychiques, sexuelles ou culturelles, mutilations ou humiliations, toutes les violences sont inacceptables. Action pour les Droits Humains et l’Amitié s’indigne profondément de la situation que vive les filles et les femmes.
Femmes battues, niées, tuées, violées, mutilées, enfermées, harcelées, dominées, possédées.
Ainsi, c’est un déferlement d’atrocités au quotidien : viols, excisions, incestes, bastonnades et blessures, harcèlements, meurtres et agressions multiples. Et très souvent, il ne s’agit là que des faits portés devant les Cours et Tribunaux. »
Dans une récente étude, on note que 19% des femmes âgées de 15 à 49 ans affirment avoir subi des violences physiques ou sexuelles infligées par un partenaire au cours des 12 mois.
Pertinente plaidoyer. Le Sénégal a ratifié plusieurs conventions cependant l’applicabilité reste. Par exemple la loi sur la parité
Effectivement qu’elles soient physiques ou psychiques, sexuelles ou culturelles, mutilations ou humiliations, toutes les violences sont inacceptables
Malheureusement 2018 fut difficile pour les filles et les femmes. En milieu scolarité, elles sont victimes d’harcèlement.
Merci à cette organisation qui est différente des autres qui ne parlent que de politique et de financement. Au moins vous on voit sur le terrain
L’État à un rôle à jouer. Surtout dans les zones les plus reculées du pays, où les professeurs abus des jeunes filles
Ce n’est pas seulement les professeurs même les hommes d’église
Doyna warr
Les hommes aussi sont victimes de violences, les auteurs sont les femmes
Le pourcentage? Les hommes sont les acteurs de cette violence. Les organisations de la société civile ont un rôle à jouer
C’est pas comparable avec les femmes qui sont des personnes vulnérables
C’est vraiment grave ce qui se passe au Sénégal, 0 protection des droits des femmes
Downa warr
La mère c’est la vie, la femme c’est ma société
Malheureusement chaque mois il y a un cas de violences
La faute ?
Comment protéger le droit des jeunes filles et des femmes pour éliminer cette violence faite aux femmes
Surtout les filles dans les zones les plus reculées du pays, on voit du tout et elles n’osent pas parler.
Les autorités compétentes doivent prendre leurs responsabilités
19% des femmes âgées de 15 à 49 ans affirment avoir subi des violences physiques ou sexuelles infligées par un partenaire au cours des 12 mois.
Le triple n’ose pas parler
Les fautes n’osent pas parler et c’est des ONG et des autorités
Doyna war. C’est grave!
Moi je pense qu’il y a beaucoup de choses à dénoncer sur la violence faite aux femmes
Quelles solutions s’il y a crise des valeurs. Il n’y a plus d’éducation de base
IPhone 7 plus cheveux naturels pour ça elles sont prêtes à tout
C’est vrai qu’il y a pire que ça. Des filles qui tombés dans leurs propres pièges après nous disent qu’elles sont victimes
Vouloir le beurre et l’argent du beurre
Ligua wakh garawna déh lol
Et pourquoi cette dame qui a brûlé son mari certains le défendent?
La faute des hommes infidèles rek
Y a t’il pas de journée internationale pour l’élimination des violences faites aux hommes?
Dagua doff
Bime rew, doyna warr
Effectivement c’est un pertinent article qui nous permet de prendre conscience et de prendre nos responsabilités
Les médias ont un rôle à jouer malheureusement influencent négativement
Il faut l’application rigoureuse des instruments de protection.
Qui osera ? Avec nos coutumes et autres… par exemple la femme de Touba qui a été torturée par son mari
L’État doit prendre ses responsabilités même si ce sera difficile
C’est quoi le rôle des autorités?
Trop de choses à dénoncer!Malheureusement ce sera difficile avec nos réalités culturelles par exemple la mutilation géniale… C’est encore une réalité même à Dakar
Vous avez parfaitement raison
Ndeyssan man mom je suis violenté par ma femme et si je veux riposter,sama Kjell dafay dem thi justice,té chaque fois qu’on a des problèmes pakka ley gannayo
lol ????
Il blaque way
Faut voir Foster le président des maris bâttus ?
Mr Mane faut répondre svp
Est-il sérieux
C’est comme le cas de Aïda Mbacke je vous conseille d’aller à la politique ou les conseils de quartier
C’est un cas appart ça
Faut avoir le courage d’aller dénoncer ça aux autorités
Ah Sénégal dal moy lolou ?
Pourquoi moh lolou? Le problème est plus large!
Que dirait on pour les femmes qui agressent en plein jour un homme digne ? Jerejefaty
Faut pas faire hors sujet
Cheikh kagne moh lolou
Agresser comment?
Ke pense qu’il faut se pencher sur le problème, chaque jour doit être une journée internationale pour l’élimination des violences faites aux femmes.
Parfaitement raison!
Merci pour ce brillant article, nous attendons les activités en espérant qu’il y aura changement.
J’adore cet article
toutes les formes de violences sont inacceptables surtout chez des personnes vulnérables
L’Etat doit en réalité faire preuve de plus de considération à l’égard des femmes et des filles.
En réalité c’est un problème culturel. Par exemple combien de filles à cause de leur culture ont été victimes de mutilation géniale
Gni faléwougnou kéne
Mbaye Prodac ki engage des filles, ???⛏
Surtout les jeunes filles!
L’état dore marteau rek la tal
Kou si moytouwoule l’argent facile, do to k dafati
Et la violence faite aux hommes ?
Xaral bah séne journée mondiale ?