La France mise sur des discussions avec Israël et une réunion co-présidée avec l’Arabie Saoudite à New York les 28 et 29 juillet, pour trouver des solutions à la crise humanitaire à Gaza, a déclaré la porte-parole du gouvernement français, Sophie Primas, mercredi dernier. Elle a déploré les difficultés d’acheminement de l’aide humanitaire et les attaques meurtrières qui surviennent lors de ces acheminements.
Une situation humanitaire critique
Plus de 59 000 Palestiniens, majoritairement des femmes et des enfants, ont été tués à Gaza depuis octobre 2023, selon les autorités sanitaires locales. Les frappes aériennes israéliennes, la destruction des infrastructures et le siège imposé par Israël ont engendré une famine généralisée, un effondrement du système de santé et un blocage de l’aide humanitaire. Un sommet d’urgence s’est tenu à Bogota en janvier 2024 pour discuter de la situation.
Des actions en justice internationales
La Cour internationale de Justice (CIJ) a ordonné à Israël en janvier 2024 de prévenir tout acte de génocide et de permettre l’accès à l’aide humanitaire. La Cour pénale internationale (CPI) a confirmé en juillet les mandats d’arrêt contre le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu et le ministre de la Défense Yoav Gallant, les accusant de crimes de guerre, notamment d’avoir utilisé la famine comme méthode de guerre.
La situation des journalistes
La Société des journalistes (SDJ) de l’AFP a alerté sur la situation critique de ses correspondants à Gaza, qui « risquent de mourir de faim » faute d’accès à la nourriture et aux soins, soulignant la gravité des conditions de travail des journalistes dans l’enclave. Plus de deux cents journalistes ont été tués par les forces israéliennes au cours des 21 derniers mois.
Franchement cest de trop bombarder pour le plaisir de bombarder sans aucune raison tuer des enfants des personnes âgées des jeunes de quel droit israel se permet il tuer ce Netanyahu qui ôté des vies énormément trop cest trop le monde entier doit se lever