Blasphème : Mame Mactar Guèye demande à Moustapha Diakhaté de s’excuser
À MON GRAND FRÈRE et Ami, l’Honorable député Moustapha Diakhaté :
Suite au tollé suscité par ta sortie médiatique de ce mardi 16 février, via le site en ligne « Sénégal7 », sur la généalogie du MESSAGER D’ALLAH (psl), connaissant la profonde dévotion que tu as toujours nourrie à l’égard de la MEILLEURE DES CRÉATURES (psl), je reste convaincu que c’est dans le feu de ta rhétorique que cet impair est survenu.
ME REMÉMORANT la vive indignation que tu avais publiquement exprimée, lorsque le porte-drapeau de L’INTÉGRISME LAÏC, Emmanuel Macron, avait encouragé, en octobre dernier, les Français à continuer de BLASPHÉMER ton Honorable « Toureundo » (psl), je suis convaincu que ton humilité légendaire ne sera nullement gênée par un PETIT MOT D’EXCUSE, qui ne fera que te grandir. Et sera, sans nul doute, très bien accueilli par la Oumma islamique, dont les légitimes grincements de dents de certaines de ses franges indignées vont crescendo, depuis hier.
FAIS-LE, Grand Frère, « té Yalla tax » !
Que Dieu te garde.
(MMG JAMRA).
Ce lavage de cerveau meetina. Y a des choses plus urgentes à régler pour ce pays khibone que d toujours tout ramener à la religion et à ces références judeo-arabes ou judéo chrétiennes importées et archaïques. Na niou tal comment sortir de cette pauvreté et présentement de ce covid. On passe notre temps à nous occuper du religieux, ça nous sert à quoi, en termes de MIEUX-VIVRE?
La religion est au début et à la fin de tout pauvre ignare.
Senego bayileen censure bi waay. C’est le débat
ndagaye doule djamou nar
C’est de l’impolitesse caractérisé.
Tu as son numéro certainement, pourquoi ne pas l’appeler et en parler avec lui. Vous voulez tout politiser.
A son âge avancé ce vieux grabataire rendra compte de son acte malsain devant le bon dieu il n’a qu’à se prendre à lui seul si sa vie est ratée. C’est vraiment honteux pitoyable et ignoble ce qu’il a dit
dou excuser wou . doule. ce pays n’appartient a aucun arabe quel qu’il soit .point barre.
hé djamou nar yi boulégne gnou doule lo