« Au nom de l’État de droit et de la démocratie, on va laisser ceux qui ont pillé ce pays faire le tour des plateaux TV ? »
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Au nom de l’État de droit et de la démocratie, on va laisser ceux qui ont pillé ce pays faire le tour des plateaux TV ?
Dans un pays normal, qui a fait sa révolution face à un tel rapport accablant révélant un pillage sauvage des deniers publics, ils ne devraient même pas passer la nuit chez eux !
En détournant cette manne d’argent,
Combien de vies ont été sacrifiées dans nos hôpitaux faute de soins et d’équipements ?
Combien d’échecs scolaires ont-ils provoqué en privant l’éducation des ressources nécessaires ?
Combien de familles ont sombré dans la misère à cause de leur cupidité ?
Combien de projets de développement ont été sabotés, laissant nos routes impraticables, nos villages sans eau, sans électricité et nos jeunes sans avenir se livrant dans des pirogues de fortune ?
Et pourtant, ils paradent en toute impunité, osant même donner des leçons.
l’histoire retiendra leurs crimes, et le peuple observe !
Ils doivent rendre compte jusqu’au dernier centime !
Alioune Badara Mboup*
Tout excès est nuisible, même l’excès de démocratie. Pas de faiblesse pour les criminels qui ont l’outrecuidance d’élever encore la voix , le ridicule ne les tuant pas.
Saisir tous les biens de ces criminels et les fusillés tous. Ils sont nuisibles à la société.
Ce gris salopard qui se fait appeler patriote doit être identifié et entendu par les services de police . Voilà le prototype le plus achevé, le condensé le plus complet du politicien prédateur, traître à son pays ,arrogant , inculte .
Avant l’arrivée au pouvoir du duo Diomaye sonko que j’ai soutenu , je leur disais à eux et à tous ceux que je rencontrais que le peuple ne les soutiendrait que si après avoir pris le pouvoir ils poursuivront les prédateurs de l’APR. Cela signifie que la prédation du pouvoir défunt était tellement flagrante que bcp de sénégalais n’en doutaient pas . Aujourd’hui la mollesse de la réaction du pouvoir actuel fait que moi-même je me pose des questions sur cette volonté de poursuivre ces voyous jusqu’en enfer . Trêve de lenteur dans la procédure pour envoyer cette racaille en prison . Leur place n’est plus parmi nous . Ces gens là ne connaissent pas cette manière de faire . La preuve : après tout ce qu’ils ont fait aux sénégalais les voila qui nous pompent l’air avec leur grande gueule .?il faut que la justice apaise les sénégalais en faisant preuve de plus de diligence . Ensuite mettre en garde tous ces mange mil que les grands voleurs paient en douce pour les défendre dans les réseaux sociaux. Que tous ces énergumènes qui envahissent les réseaux soient mises en garde et si nécessaires poursuivis. C’est incroyable !!!! Après tout ce qu’ils ont fait aux sénégalais les voila qui font preuve d’arrogance et nous pompent l’air avec leur grande gueule . Montrons leur que leurs prévarications seront durement punies
Ce sont des criminels dangereux qui ne méritent aucune pitié car eux-mêmes n’ont pas eu pitié des populations démunies, malades etc…
Je suis pour leur punition sans complaisance, la confiscation de tous leurs biens et surtout qu’ils rasent les murs
Pauvre Afrique et ses dirigeants corrompus qui trouvent toujours des acolytes dans leurs populations pour justifier et défendre leurs forfaitures. Malheur à nous nos enfants et nos descendants.
Un laudateur de plus !
Pour garantir qu’aucun futur dirigeant sénégalais, en particulier dans une nation classée parmi les 125 pays les moins avancés, ne puisse détourner les biens publics et compromettre le développement du pays, des dispositions légales rigoureuses peuvent être mises en place. Voici quelques idées inspirantes basées sur des principes de gouvernance et de transparence.
Les nouveaux dirigeants du pays ont tous les éléments en main pour neutraliser les fossoyeurs de la République:
Les 6 priorités majeures
Loi pour rendre inéligible pendant 25 ans (voire 40 ans) tous ceux qui ont participé et/ou sont complices des détournements de deniers publics
Loi pour les juger et exiger le remboursement jusqu’au dernier centime de tous ceux qui ont participé et/ou complices à ce massacre financier
Loi pour la confiscation automatique de tous leurs biens en commençant par feu Moustapha Ba et des autres ministres des finances depuis 2019
Loi pour demander l’extradition de tous les fossoyeurs aujourd’hui exilés sous peine de rompre les relations diplomatiques avec les pays d’accueil
Loi pour exiger des peines lourdes 25 et plus pour tous ceux qui ont participé et ou complices de ces faits abhorrent.
Ces gens ne doivent plus avoir le droit de nous écœurer devant les plateaux de télé. Ce n’est pas normal c’est ine insulte à la population
Bédou magique
Devenez riche en sans aucun inconvénient et sans avoir le sang humain sur les mains . + deux cents vingt neuf 4 6 5 1 0 7 0 3.
Ferme la fraudeur du Bénin !
Mboup nous laisserons comme d’ habitude les menteurs invétérés et leur gourou justifier leur rapport commandité honte à vous tchiiiiimmmm
Avec son visage de chien
Un rapport commandé et rédigé par les recru de MIMI. Liguey lenn bayi waxx comme gordjiguen
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Sénégal
Ousmane Sonko et la manipulation des comptes publics : Une tentative grossière de réécriture de l’histoire
12 février 2025
Depuis son accession au pouvoir, Ousmane Sonko n’a de cesse de chercher à discréditer l’héritage économique laissé par Macky Sall. Son dernier coup de force : tenter de manipuler la présentation des comptes publics pour faire croire qu’il a hérité d’une situation financière catastrophique et marquée par des fraudes. Pourtant, une lecture attentive du rapport de la Cour des Comptes publié en février 2025 montre une tout autre réalité.
Si des anomalies comptables mineures ont bien été relevées, elles sont principalement des questions de classification budgétaire, mais en aucun cas des fraudes massives comme le clame Sonko. Pire encore, la Cour des Comptes, que Sonko instrumentalise aujourd’hui, avait elle-même validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans relever de falsifications. En cherchant à réécrire l’histoire, Sonko dévoile ce qu’il est réellement : un manipulateur populiste prêt à tout pour justifier ses propres échecs.
Une tentative de dissimulation derrière un écran de fumée
Lors de sa conférence de presse, Sonko a martelé l’idée que le Sénégal était en ruine, que les finances publiques avaient été saccagées par le régime précédent et que la dette publique était bien plus élevée que ce qui avait été annoncé. Pourtant, curieusement, le rapport de la Cour des Comptes ne mentionne absolument rien sur la dette extérieure, un sujet pourtant fondamental et scruté de près par le FMI.
Pourquoi cette omission ? Tout simplement parce que Sonko sait pertinemment que sur ce terrain, il ne peut pas manipuler les chiffres sans risquer une réaction immédiate des institutions financières internationales. Il se rabat donc sur des anomalies comptables internes, les grossissant jusqu’à les faire passer pour des scandales.
Les principales accusations qu’il avance reposent sur trois points :
Des « rattachements irréguliers » de recettes, qui ont pu légèrement fausser certains déficits budgétaires, mais qui restent des ajustements comptables courants dans la gestion d’un État.
Un sous-enregistrement des dettes et un surfinancement mal géré, point effectivement relevé par la Cour, mais qui n’a jamais été qualifié de frauduleux.
Une utilisation opaque des comptes spéciaux du Trésor, notamment le Programme de Défense des Intérêts Économiques et Sécuritaires (PDIES), dont les dépenses manquent de transparence, mais qui relève avant tout d’une gestion perfectible plutôt que d’un détournement massif.
L’instrumentalisation de la Cour des Comptes : un dangereux précédent
Le plus inquiétant dans cette affaire n’est pas tant le contenu du rapport que la manière dont Sonko tente d’en faire un instrument de propagande. La Cour des Comptes, en tant qu’institution indépendante, avait validé les comptes de l’État sous Macky Sall sans émettre de réserves majeures.
Aujourd’hui, sous la pression du gouvernement Sonko, elle se retrouve contrainte de produire un rapport qui contredit ses propres conclusions antérieures. Plus troublant encore, ce document n’est pas signé, ce qui est une anomalie grave pour une institution de cette importance. Il est plus que probable que le président de la Cour des Comptes a subi des pressions considérables pour valider ce texte, alors que plusieurs membres de l’institution se sont désolidarisés.
En manipulant cette institution, Sonko envoie un message clair : il est prêt à tordre la réalité pour asseoir son pouvoir et justifier l’échec de ses premières décisions catastrophiques. Cette instrumentalisation est un précédent dangereux qui fragilise la crédibilité de la Cour des Comptes, et plus largement, l’ensemble des institutions de contrôle au Sénégal. Une Cour des Comptes qui se laisse dicter ses conclusions par le pouvoir en place n’est plus qu’un outil de propagande.
Un écran de fumée pour masquer l’incapacité du gouvernement Sonko à gouverner
Si Sonko s’acharne autant à noircir le tableau, ce n’est pas seulement par obsession pour Macky Sall. C’est surtout parce que son propre gouvernement s’enfonce chaque jour un peu plus dans la crise.
Les premières décisions prises depuis son arrivée au pouvoir ont eu des effets dévastateurs. La confiance des investisseurs s’effrite à vue d’œil, refroidis par une instabilité politique et des décisions économiques incohérentes. Sur le plan budgétaire, les finances du pays sont en grande difficulté, et ce non pas à cause d’un supposé passif laissé par l’ancien régime, mais bien par l’absence totale de gestion efficace depuis l’arrivée de Sonko au pouvoir.
Pire encore, le Sénégal subit une dégradation de sa note financière, conséquence directe des discours alarmistes et de l’incertitude économique générée par Sonko lui-même. En cherchant à diaboliser l’ancien régime, il affaiblit la crédibilité du Sénégal sur la scène internationale et met en péril l’accès aux financements nécessaires au développement du pays.
Plutôt que de passer son temps à remuer le passé et à multiplier les polémiques, Ousmane Sonko ferait mieux de prendre enfin ses responsabilités et d’affronter la réalité du pouvoir. Gérer un pays ne se résume pas à organiser des conférences de presse tapageuses ni à ressasser de vieilles rancœurs. Cela exige de la vision, du pragmatisme et surtout du courage politique – trois qualités qui, pour l’instant, semblent cruellement faire défaut au Premier ministre.
Sonko, ou l’art du populisme destructeur
La stratégie de Sonko repose sur une mécanique bien huilée : créer un ennemi, inventer un scandale et détourner l’attention de son propre échec. Depuis qu’il est au pouvoir, il applique méthodiquement cette recette, cherchant à faire porter à Macky Sall la responsabilité de tous les problèmes actuels du pays.
Ce populisme est d’autant plus pernicieux qu’il se nourrit de la colère et de la frustration d’une partie de la population, exploitant leurs inquiétudes pour asseoir son pouvoir. Mais la réalité est têtue : les accusations de Sonko ne reposent que sur du vent.
Le plus ironique dans cette affaire, c’est que plus Sonko tente de discréditer l’ancien régime, plus il expose ses propres failles. Son acharnement contre Macky Sall est un aveu d’impuissance : il montre que, six mois après son arrivée au pouvoir, il n’a toujours rien à offrir aux Sénégalais si ce n’est des polémiques stériles.
En fin de compte, le véritable scandale n’est pas celui qu’il prétend dénoncer. Le vrai scandale, c’est lui.
Des personnes irresponsable comme vous pouvez parler de la sorte et de mauvaise foi
Il faut déposer une plainte contre la cour des comptes domeharam
Où sont Abdoulaye Daouda Diallo, Amadou Ba, Birima Mangara, Amadou Hott … ? Les autres politicards taisez-vous. C’est trop sérieux pour cela soit un débat de bas étage