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Arrêté dans une « drogue party », Dame Amar refuse le test urinaire et s'enfonce

Le dossier impliquant l’homme d’affaires Dame Amar est en passe d’être bouclé. Lui et quatre autres suspects seront prochainement déférés devant le Tribunal de Grande Instance hors classe de Dakar pour association de malfaiteurs, détention de drogue, blanchiment de capitaux et tentative de corruption.

Devant les enquêteurs, en présence de leurs avocats, Dame Amar et sa compagne, la Marocaine Malaoui Ghita, ont catégoriquement nié les faits qui leur sont reprochés. Tous deux ont cependant refusé de se soumettre à un test urinaire, un choix qui pourrait fragiliser leur défense au regard des éléments matériels jugés accablants par les enquêteurs.

Pour rappel, Dame Amar faisait déjà l’objet d’une surveillance étroite dans le cadre d’investigations visant un réseau soupçonné de trafic de drogue et d’activités financières illicites. L’affaire, suivie de près par les autorités judiciaires, devrait connaître un tournant décisif lors de la prochaine audience. Le refus de coopérer des mis en cause pourrait peser lourd dans l’appréciation du tribunal.

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