Abdou Ndiaye : Plaidoyer pour la Senelec

Le nouveau DG de la Société sénégalaise d’électricité (SENELEC) fait l’objet, depuis un moment, de vives critiques.  Il est reproché à la structure des difficultés financières comme les salaires payés plus tard que d’habitude et une dette de l’Etat qui plombe les comptes. Soit 247 milliards de francs CFA… Ce qui pourrait occasionner une augmentation sur le prix de l’électricité. Ce qui avait fait réagir Pape Demba Bitèye. Occasion saisie par Abdou Ndiaye, opérateur économique et responsable politique à Nioro, dans une note parvenue à senego, pour appuyer M. Bitèye.

« Il n’y aura pas de délestages« 

« Il n’y aura pas de délestages. La Senelec dispose de suffisamment de capacités de production, et nos centrales sont correctement alimentées en combustible. Donc, il n’y a pas de risque de délestages. La qualité de service, si on n’a pas d’incident majeur, sera maintenue (…) la Senelec dispose d’une capacité suffisante. Elle fait correctement la maintenance de ses centrales, et Senelec fait face à la demande d’électricité, qui est satisfaite à partir de ces différentes sources de production, disposées un peu partout au niveau du pays. La puissance disponible nous permet de couvrir largement la demande, malgré la période de fête…« , avait soutenu Pape Demba Bitèye.

Abdou Ndiaye prévient les détracteurs de M. Bitèye…

« C’est de la manipulation… Une tentative de déstabiliser Pape Demba Bitèye…« , selon Abdou Ndiaye qui estime que ce sont « des adversaires politiques, tapis dans l’hombre, qui tentent, coûte que coûte de l’éjecter de son poste pour prendre sa place… Mais qu’ils sachent que leurs entreprises seront vaines », regrette-t-il ce genre de pratique qui, selon lui, « n’honore pas un politicien digne du nom. Non sans assurer qu’il fera son nécessaire pour que « ces vautours » n’arrivent pas à leur fin.

« Il l’a dit! Pape Demba  Bitèye a assuré que ‘les Centres sont suffisamment alimentés en combustible et que la Sar continue de leur fournir ce dont ils on besoin et ce, depuis 2011. Où est le problème?« , s’est-il interrogé. Non sans exiger que les « attaques sur notre Dg cessent. Sans quoi, ils nous trouveront sur leur chemin…«