Diourbel traverse une période de tension intense après la découverte d’un réseau criminel insoupçonné. Tout est parti d’une plainte déposée par I.D., un charlatan né en 1962, venu signaler le vol de deux téléphones portables et d’une somme d’argent.
Sous l’autorité de l’adjudant-chef Diop, les premiers suspects, trois receveurs sont interpellés. Leur audition mène rapidement à l’arrestation de F.N., 20 ans, qui reconnaît les faits. Mais l’affaire prend une tournure explosive lorsque le jeune homme fait des révélations majeures sur un réseau structuré, composé principalement de jeunes de 17 à 25 ans.
Selon des informations fiables de Dakaractu, 18 personnes ont déjà été arrêtées, dont 3 pour recel et 15 pour leur implication présumée dans ce réseau, comprenant même des ressortissants gambiens. Les enquêteurs parlent d’une organisation bien implantée, avec de possibles connexions à des personnalités influentes de Diourbel, accentuant la tension dans la région.
La première vague de mis en cause a été déférée au parquet. L’enquête se poursuit et pourrait dévoiler d’autres ramifications.
